Oui, enfin, enfiiiiinnnn !! Après de longues semaines de travaux, mon nouveau coin bureau de maquillage est terminé ! J'ai l'impression que ce nouvel aménagement nous a pris des mois (ce qui est un peu le cas en fait puisqu'entre le confinement, la femme enceinte et le mari professeur/directeur d'école, on n'était pas vraiment sortis de l'auberge ;), de l'arrachage de papier peint moche au montage des meubles, en passant par le ponçage des murs, le tartinage d'enduit et l'application de la peinture. Bref, si vous avez l'habitude de faire vos travaux vous-même à la maison, vous savez que ça prend toujours un temps pas possible. On sait quand ça commence mais on ne sait jamais quand ça va se terminer... Toujours est-il que ça y est, mon coin bureau — qui fait à la fois office de bureau de maquillage et de bureau de travail (pour le blog) — est tout beau, tout propre, à l'image de ce que je désirais.
Pour vous expliquer la chose plus en détails, notre maison compte 3 chambres : la nôtre, celle de Belette et la chambre d'amis aka le gros débarras où j'entassais une grande partie de mes produits de beauté (makeup et soins). Cette chambre d'amis (d'ores et déjà en travaux) va devenir la chambre de bébé n°2. J'ai donc dû tout évacuer, trier, jeter, ranger pour faire de la place. En ce qui concerne mon bureau à proprement parler, il a toujours été sur le pallier qui dessert les 3 chambres ainsi que la salle de bain. L'espace est tout petit (et passant — d'où le terme "coin bureau") mais il me suffit amplement. Il est assez lumineux (sauf quand il fait un temps pourri comme le jour ou j'ai pris les photos de cet article...) puisqu'il fait face aux grandes baies vitrées de mon séjour cathédrale et son emplacement me permet d'avoir toujours un œil sur ce que traficote Belette pendant que je travaille.
Pour vous expliquer la chose plus en détails, notre maison compte 3 chambres : la nôtre, celle de Belette et la chambre d'amis aka le gros débarras où j'entassais une grande partie de mes produits de beauté (makeup et soins). Cette chambre d'amis (d'ores et déjà en travaux) va devenir la chambre de bébé n°2. J'ai donc dû tout évacuer, trier, jeter, ranger pour faire de la place. En ce qui concerne mon bureau à proprement parler, il a toujours été sur le pallier qui dessert les 3 chambres ainsi que la salle de bain. L'espace est tout petit (et passant — d'où le terme "coin bureau") mais il me suffit amplement. Il est assez lumineux (sauf quand il fait un temps pourri comme le jour ou j'ai pris les photos de cet article...) puisqu'il fait face aux grandes baies vitrées de mon séjour cathédrale et son emplacement me permet d'avoir toujours un œil sur ce que traficote Belette pendant que je travaille.
Une petite revue palette, ça faisait longtemps pas vrai ? Maintenant que j'ai enfin retrouvé mon bureau et que je peux de nouveau me maquiller dans un endroit confortable avec tout bien rangé à portée de main (je pense bientôt vous proposer un article sur mes rangements makeup et mon nouveau coin bureau ;), j'ai eu envie de ressortir les pinceaux et de m'amuser avec la dernière palette à avoir intégré ma petite collection : la palette Nude Obsessions dans l'harmonie Light signée Huda Beauty. Cela faisait un bail que cette palette de fards à paupières me faisait de l'œil. Étant déjà très fan de la New Nude, j'avais envie d'agrandir la famille avec cette petite Nude Obsessions Light qui joue sur les mêmes couleurs et tonalités que sa grande sœur.
Sortie en automne 2019, la collection Nude Obsessions vient compléter la gamme Obsessions de Huda Beauty — cette gamme composée de petites palettes de 9 fards commercialisées à prix plus doux. C'est la première fois que je craque pour ce format chez Huda (ce n'est pourtant pas faute d'être tentée par les différentes déclinaisons, dont la plus récente, la fameuse série Pastel Obsessions) et il me tardait de découvrir la qualité des fards dont on nous dit bien souvent qu'elle est meilleure que celle de ceux présents dans les grandes palettes de la marque.
Sortie en automne 2019, la collection Nude Obsessions vient compléter la gamme Obsessions de Huda Beauty — cette gamme composée de petites palettes de 9 fards commercialisées à prix plus doux. C'est la première fois que je craque pour ce format chez Huda (ce n'est pourtant pas faute d'être tentée par les différentes déclinaisons, dont la plus récente, la fameuse série Pastel Obsessions) et il me tardait de découvrir la qualité des fards dont on nous dit bien souvent qu'elle est meilleure que celle de ceux présents dans les grandes palettes de la marque.
Aujourd'hui, je sors un peu la tête de mes pots de peinture pour vous retrouver avec cette fameuse "Foire aux Questions" que je vous avais proposée via mes stories Instagram. En effet, il y a quelques semaines maintenant, vous avez pu me poser toutes les questions qui vous taraudaient au sujet de ma seconde grossesse (mais pas que !). J'ai noté religieusement toutes vos interrogations (et il y en avait beaucoup ! ;). Au final, j'ai retenu une vingtaine de questions — 25 pour être précise — et je vais tâcher d'y répondre le plus honnêtement et le plus succinctement possible aussi... (non parce que vous me connaissez, je suis bavarde moi !! ;).
Aussi, cette FAQ me permet de revenir (d'une certaine façon) sur ma première grossesse qui s'est déroulée en 2014/2015 et j'avoue que cela me fait du bien. À l'époque, je ne m'étais pas vraiment épanchée sur le sujet par ici, ayant relégué le blog loin loin derrière mes priorités d'alors. Je suis donc ravie de pouvoir vous reparler de tout cela dans ma FAQ du jour. Aller, trêve de blabla, place aux questions et — surtout — à mes réponses ! Pour vous rendre la chose moins indigeste, je me suis permise de classer tout ça en 5 catégories. Le projet bébé n°2 ; ma grossesse au quotidien ; ma préparation à l'accouchement et l'accouchement ; l'allaitement ; le post-partum : ce sont ces 5 thèmes qui sont le plus revenus au travers de vos questions.
Aussi, cette FAQ me permet de revenir (d'une certaine façon) sur ma première grossesse qui s'est déroulée en 2014/2015 et j'avoue que cela me fait du bien. À l'époque, je ne m'étais pas vraiment épanchée sur le sujet par ici, ayant relégué le blog loin loin derrière mes priorités d'alors. Je suis donc ravie de pouvoir vous reparler de tout cela dans ma FAQ du jour. Aller, trêve de blabla, place aux questions et — surtout — à mes réponses ! Pour vous rendre la chose moins indigeste, je me suis permise de classer tout ça en 5 catégories. Le projet bébé n°2 ; ma grossesse au quotidien ; ma préparation à l'accouchement et l'accouchement ; l'allaitement ; le post-partum : ce sont ces 5 thèmes qui sont le plus revenus au travers de vos questions.
Sale temps pour les lipsticks addicts ! Moi qui ne mets jamais un pied dehors sans porter de rouge à lèvres en temps normal (quand je sors maquillée, j'entends ;), je suis bien malheureuse depuis que nous devons nous coltiner ces fichus masques en extérieur. Porter du rouge à lèvres là-dessous ? Aucun intérêt puisque personne ne le voit, pas même moi ! Alors j'essaye de me rattraper comme je peux en me vengeant sur le maquillage des yeux... mais ce n'est pas tout à fait pareil, pas vrai ? Pour autant, j'ai décidé qu'il ne fallait pas se laisser abattre (on les ressortira un jour nos bons vieux rouges à lèvres !) et les circonstances actuelles ne m'empêchent d'ailleurs pas de lorgner sur de jolies pépites en la matière.
Le dernier lipstick à avoir intégré ma collection est le fruit d'un improbable coup de foudre. Pour la petite histoire, je l'ai découvert lors d'un chat live sur Twitter avec Caitriona Balfe (Claire Fraser d'Outlander pour celles qui ne la connaissent pas). Durant cette séance de questions/réponses, Caitriona a publié la photo d'un rouge à lèvres de la marque Oribe comme étant celui qu'elle portait lors d'une séance photo — rouge à lèvres qui semblait avoir attiré l'attention de l'une des ses fans. Inconnue au bataillon en ce qui me concerne, j'ai tout de suite été intriguée par cette marque de rouges à lèvres dont je n'avais jamais entendu parler. Il faut dire que la photo du tube du rouge à lèvres partagée par Caitriona était plutôt prometteuse.
Le dernier lipstick à avoir intégré ma collection est le fruit d'un improbable coup de foudre. Pour la petite histoire, je l'ai découvert lors d'un chat live sur Twitter avec Caitriona Balfe (Claire Fraser d'Outlander pour celles qui ne la connaissent pas). Durant cette séance de questions/réponses, Caitriona a publié la photo d'un rouge à lèvres de la marque Oribe comme étant celui qu'elle portait lors d'une séance photo — rouge à lèvres qui semblait avoir attiré l'attention de l'une des ses fans. Inconnue au bataillon en ce qui me concerne, j'ai tout de suite été intriguée par cette marque de rouges à lèvres dont je n'avais jamais entendu parler. Il faut dire que la photo du tube du rouge à lèvres partagée par Caitriona était plutôt prometteuse.
Au moment où je vous écris ces lignes, les visuels de la nouvelle palette Norvina Vol.4 d'Anastasia Beverly Hills viennent d'être dévoilés. Moi qui ai rarement été inspirée par les palettes de pigments pressés de la marque, je dois reconnaître que là, j'ai eu comme un coup de foudre. Les couleurs proposées — du neutre, du rose et du lilas/violet — me parlent tout à fait (et ce n'est sans doute pas une surprise pour vous si vous me connaissez bien ;). La Norvina Vol.4 rejoint donc cette longue liste de palettes qui me font de l'œil depuis plus ou moins longtemps (avec, en tête, la nouvelle Mini Retro de Natasha Denona ; la Natural Nudes de Too Faced et au moins l'une des multiples merveilles signées Pat Mc Grath qui coûtent malheureusement un bras... mais qui sont si jolies !).
Je reconnais pourtant que je ne suis pas de celles qui collectionnent les palettes de façon excessive. Je m'efforce d'être raisonnable en n'achetant pas trop pour éviter doublons (mais c'est inévitable) et craquages inutiles (dixit la fille qui vient de s'offrir la Nude Obsessions Light d'Huda Beauty alors qu'elle possède déjà la New Nude qui lui ressemble beaucoup... hum !). J'ai néanmoins noté que ma consommation en la matière avait fait un bond considérable ces dernières années (surtout l'année dernière en fait). J'adore jouer avec les couleurs et les textures. Pour moi, se maquiller les yeux est le meilleur moyen d'exprimer son côté créatif (si tant est que l'on en ait un ;) et le fait que le champ des possibles semble infini en la matière (surtout quand, au fil des essais, on arrive à améliorer sa technique) est on ne peut plus jubilatoire.
Je reconnais pourtant que je ne suis pas de celles qui collectionnent les palettes de façon excessive. Je m'efforce d'être raisonnable en n'achetant pas trop pour éviter doublons (mais c'est inévitable) et craquages inutiles (dixit la fille qui vient de s'offrir la Nude Obsessions Light d'Huda Beauty alors qu'elle possède déjà la New Nude qui lui ressemble beaucoup... hum !). J'ai néanmoins noté que ma consommation en la matière avait fait un bond considérable ces dernières années (surtout l'année dernière en fait). J'adore jouer avec les couleurs et les textures. Pour moi, se maquiller les yeux est le meilleur moyen d'exprimer son côté créatif (si tant est que l'on en ait un ;) et le fait que le champ des possibles semble infini en la matière (surtout quand, au fil des essais, on arrive à améliorer sa technique) est on ne peut plus jubilatoire.
Beaucoup de nouveautés très désirables sont sorties depuis ce début d'année 2020 et même si les choses se sont considérablement tassées depuis 2 mois, j'ai encore une wishlist makeup longue comme mon bras. Il y a les femmes enceintes qui ont des envies de fraises ; moi j'ai des envies de commandes Sephora. Malheureusement (ou heureusement pour mon compte en banque), commander en ces temps compliqués n'est pas l'idée du siècle. J'avoue tout de même avoir craqué une fois, au tout début du confinement. Je voulais, entre autres, à tout prix tester la palette pour le teint Turn Up The Light signée Too Faced — palette qui semble faire l'unanimité chez toutes les Youtubeuses beauté que je suis.
Pourtant, je n'en avais absolument pas besoin. Niveau palette pour le teint, je suis déjà comblée par la très complète Ambient Lighting Edit Volume 4 de Hourglass. Hourglass propose d'ailleurs selon moi les meilleures formules poudre pour le teint (on ne présente plus les poudres de finition Dim Light et Diffused Light — d'une absolue finesse — qui embellissent le teint comme aucune autre ne sait le faire). Et justement, j'ai entendu de-ci de-là que la nouvelle palette Too Faced se rapprochait pas mal de ce que nous propose Hourglass depuis des années. Très tentée par les multiples éloges à son sujet et pas moins curieuse de la découvrir en action, j'ai logiquement fini par mettre la Turn Up The Light dans mon panier Sephora en dépit des circonstances.
Il y a une semaine, rendez-vous était pris avec ma gynécologue pour passer ma deuxième échographie. J'avoue avoir trouvé le temps particulièrement long entre ma première (vraie) rencontre avec bébé (l'échographie précoce ne compte pas vraiment pour moi...) et celle-ci. Moi qui suis de nature anxieuse, il me tardait de voir si tout allait bien pour bébé. Pour une raison que je ne m'explique qu'à moitié, je suis beaucoup moins sereine pour cette grossesse que pour ma précédente. C'est donc à la fois excitée et angoissée que je me suis rendue à l'hôpital pour passer cette fameuse deuxième écho que bon nombre de futures mamans attendent avec impatience.
Car bien souvent, c'est au cours de cette deuxième échographie que l'on découvre le sexe de son bébé (il arrive parfois qu'on le sache lors de la toute première mais cela demande généralement confirmation). De notre côté, fille ou garçon, nous n'avions pas réellement de préférence si ce n'est que l'idée d'avoir une deuxième fille me semblait être plus rassurante (moins d'inconnus... même si je sais que chaque bébé est différent). Néanmoins, mon début de grossesse ayant été plus soft que ce qu'il n'avait été pour Lily, Monsieur BG avait le pressentiment que nous allions accueillir un petit garçon.
Car bien souvent, c'est au cours de cette deuxième échographie que l'on découvre le sexe de son bébé (il arrive parfois qu'on le sache lors de la toute première mais cela demande généralement confirmation). De notre côté, fille ou garçon, nous n'avions pas réellement de préférence si ce n'est que l'idée d'avoir une deuxième fille me semblait être plus rassurante (moins d'inconnus... même si je sais que chaque bébé est différent). Néanmoins, mon début de grossesse ayant été plus soft que ce qu'il n'avait été pour Lily, Monsieur BG avait le pressentiment que nous allions accueillir un petit garçon.
Bon, je crois qu'il n'est maintenant plus nécessaire de vous confier ma passion pour les plantes. Si vous me suivez sur Instagram, vous avez sans doute déjà votre dose. Et puis j'avais déjà publié un article sur le sujet sur le blog, article datant d'il y a presque 1 an dans lequel je vous présentais une partie de ma "collection". Depuis, il y a eu un peu de changement. J'ai acquis de nouvelles plantes ; j'en ai perdu certaines aussi (paix à leur âme) ; j'ai fait quelques petites expériences plutôt satisfaisantes ("plantages" de noyau, bouturages...) et j'ai sauvé — et vu croître — certaines de mes petites qui étaient pourtant assez mal en point il y a quelques mois encore.
Durant mon premier trimestre de grossesse, je n'ai eu de cesse de m'occuper de mes plantes et de m'intéresser à de nouvelles variétés (à défaut de pouvoir faire grand-chose d'autre). Je pense que ce n'est pas tout à fait une coïncidence. Planter une graine, faire pousser une plante, la nourrir, la regarder grandir et s'en occuper au quotidien, c'est une façon imagée d'appréhender la notion de maternité. La métaphore est d'ailleurs clairement exposée dans The Handmaid's Tale. Mrs Waterford comble son désir inassouvi de porter un enfant en se réfugiant dans sa serre pour planter et bouturer ses plantes chéries ; comme pour se prouver qu'elle est elle aussi capable d'"enfanter", à sa manière. C'est en tout cas mon interprétation de la chose.
Durant mon premier trimestre de grossesse, je n'ai eu de cesse de m'occuper de mes plantes et de m'intéresser à de nouvelles variétés (à défaut de pouvoir faire grand-chose d'autre). Je pense que ce n'est pas tout à fait une coïncidence. Planter une graine, faire pousser une plante, la nourrir, la regarder grandir et s'en occuper au quotidien, c'est une façon imagée d'appréhender la notion de maternité. La métaphore est d'ailleurs clairement exposée dans The Handmaid's Tale. Mrs Waterford comble son désir inassouvi de porter un enfant en se réfugiant dans sa serre pour planter et bouturer ses plantes chéries ; comme pour se prouver qu'elle est elle aussi capable d'"enfanter", à sa manière. C'est en tout cas mon interprétation de la chose.
La maison est à nouveau en chantier (vous allez finir par croire que nous sommes toujours en travaux depuis que nous avons acheté en 2015... et vous n'aurez pas tout à fait tort ;). Bien avant le début du confinement, Monsieur BG et moi avons entrepris de refaire mon coin bureau qui, jusque-là, était resté dans son jus (avec son papier peint texturé style années 90). Le but : rendre la chose à mon goût et libérer la chambre d'ami — qui était devenue ma 2ème pièce de maquillage par manque de place dans ledit bureau — pour la transformer en chambre de bébé. Bien sûr, avec ces histoires de confinement, nos projets ont pris du plomb dans l'aile. J'ai donc profité de cette pause forcée dans les travaux pour faire un peu de rangement dans mon makeup.
Et je suis bien évidemment retombée sur ma petite collection de palettes de fards à paupières. Loin d'en avoir une centaine comme bon nombre de makeup addicts que j'aime suivre, j'en ai pourtant bien assez pour que certaines prennent la poussière au fin fond d'un tiroir. La Naked 3 d'Urban Decay fait partie de ces palettes. Si mes souvenirs sont bons, la Naked 3 a été la deuxième palette Urban Decay à rejoindre ma collection, la première étant la Vice Palette première du nom sortie en octobre 2012. Je me rappelle encore du jour où j'ai craqué pour cette Naked 3. Je crois n'avoir jamais autant attendu la mise en ligne d'une avant-première sur l'e-shop Sephora ! Il faut dire que l'harmonie proposée dans cette troisième mouture — du neutre rosé — représentait tout ce qui me plaisait en matière de makeup des yeux à l'époque.
Et je suis bien évidemment retombée sur ma petite collection de palettes de fards à paupières. Loin d'en avoir une centaine comme bon nombre de makeup addicts que j'aime suivre, j'en ai pourtant bien assez pour que certaines prennent la poussière au fin fond d'un tiroir. La Naked 3 d'Urban Decay fait partie de ces palettes. Si mes souvenirs sont bons, la Naked 3 a été la deuxième palette Urban Decay à rejoindre ma collection, la première étant la Vice Palette première du nom sortie en octobre 2012. Je me rappelle encore du jour où j'ai craqué pour cette Naked 3. Je crois n'avoir jamais autant attendu la mise en ligne d'une avant-première sur l'e-shop Sephora ! Il faut dire que l'harmonie proposée dans cette troisième mouture — du neutre rosé — représentait tout ce qui me plaisait en matière de makeup des yeux à l'époque.
Quoi de mieux qu'un petit article "bidules à lèvres" pour se remonter le moral ? Aujourd'hui, nous reprenons nos bonnes vieilles habitudes en nous retrouvant pour une revue maquillage qu'il me tardait de partager avec vous. Chez L'Oréal, la nouveauté lèvres du moment (enfin... d'avant le confinement ^^), c'est cette nouvelle gamme d'encres à lèvres laquées — petite sœur des liquid lipsticks mats Rouge Signature (dont je vous avais parlé dans cet article) : les Brilliant Signature. Pour ce printemps 2020, les rouges à lèvres brillants ont une nouvelle fois le vent en poupe et c'est donc sans surprise que L'Oréal nous a balancé sa nouvelle interprétation de l'encre à lèvres au fini laqué pour la saison.
J'ai tout de suite été intriguée par cette nouveauté car si vous vous souvenez bien, j'ai déjà eu un immense coup de cœur pour des laques à lèvres L'Oréal ; laques qui, autrefois, s'appelaient les Color Riche Extraordinaire (attention vieillerie !). À mi-chemin entre le rouge à lèvres (pour l'intensité de la couleur) et du gloss (pour la texture et la brillance), ces laques étaient pour moi de vraies réussites. Discontinuées depuis, je désespérais de retrouver des références du même acabit chez L'Oréal. Il aura donc fallu attendre ce printemps 2020 pour découvrir une belle et large gamme de bidules au fini laqué imaginée par la marque. Mais celle-ci est-elle à la hauteur de mes espérances ?
J'ai tout de suite été intriguée par cette nouveauté car si vous vous souvenez bien, j'ai déjà eu un immense coup de cœur pour des laques à lèvres L'Oréal ; laques qui, autrefois, s'appelaient les Color Riche Extraordinaire (attention vieillerie !). À mi-chemin entre le rouge à lèvres (pour l'intensité de la couleur) et du gloss (pour la texture et la brillance), ces laques étaient pour moi de vraies réussites. Discontinuées depuis, je désespérais de retrouver des références du même acabit chez L'Oréal. Il aura donc fallu attendre ce printemps 2020 pour découvrir une belle et large gamme de bidules au fini laqué imaginée par la marque. Mais celle-ci est-elle à la hauteur de mes espérances ?
Quand le cœur est un p'tit peu ailleurs...
9 avr. 2020
La vie est faite d'une succession de petits et grands événements. Des événements qui vous effleurent, qui vous bousculent ; des événements qui vous chahutent, qui vous chamboulent. Il arrive parfois qu'un truc vous tombe dessus sans que vous ne vous y attendiez. Et puis il y a des choses que vous n'avez de cesse d'attendre et qui semblent ne jamais vouloir (vous) arriver.
Ce n'est sans doute plus un secret pour vous si vous me suivez sur Instagram ou sur Twitter. Je l'ai annoncé un peu à la va-vite, de façon spontanée et pas du tout comme je l'avais imaginé, à l'opposé de ce que l'on fait sur les réseaux sociaux. Je suis enceinte de mon 2ème enfant. La majorité d'entre vous le savaient donc déjà. Mais le besoin de vous l'écrire par ici se faisait de plus en plus fort ces derniers temps. Comme si l'inscrire sur une page blanche rendait la chose encore plus réelle, moi qui ne réalise toujours pas totalement que je me sois de nouveau lancée dans pareille aventure.
Mais je vais mieux, alors me revoilà.
Ce n'est sans doute plus un secret pour vous si vous me suivez sur Instagram ou sur Twitter. Je l'ai annoncé un peu à la va-vite, de façon spontanée et pas du tout comme je l'avais imaginé, à l'opposé de ce que l'on fait sur les réseaux sociaux. Je suis enceinte de mon 2ème enfant. La majorité d'entre vous le savaient donc déjà. Mais le besoin de vous l'écrire par ici se faisait de plus en plus fort ces derniers temps. Comme si l'inscrire sur une page blanche rendait la chose encore plus réelle, moi qui ne réalise toujours pas totalement que je me sois de nouveau lancée dans pareille aventure.
Mais je vais mieux, alors me revoilà.
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