J'ai eu beau retourner mon cervelet dans tous les sens, impossible de trouver un titre plus original pour cet article que quelques-unes d'entre vous m'ont demandé en commentaires. Je m'excuse platement, donc, pour cet intitulé on ne peut plus rasoir qui ne donne pas du tout envie de lire cet article. Je crois que c'est la première fois en près de 10 années de blogging que je vais vous parler pour de vrai de mes pinceaux de maquillage. Honnêtement, jusqu'à il y a peu, je ne voyais vraiment pas l'intérêt de vous donner les références des pinceaux que j'utilisais pour me maquiller parce que je ne pensais pas posséder ce qu'il se faisait de mieux en la matière, les pinceaux étant tout en bas de la liste de mes top priorités shopping beauté. Depuis, ça a quand-même un peu changé.
En fait, tout vient d'une prise de conscience assez rigolote (si, si, vous allez voir :) qui, ma foi, est toute récente. Je me suis souvenue avec nostalgie (non, je déconne ;) de mes premières années de fac de Droit durant lesquelles on n'arrêtait pas de me complimenter sur mes prises de notes et mon écriture. Mon secret venait du fait que j'écrivais tous mes cours au stylo plume (remarque n°1 : oui, j'aimais me faire du mal ; remarque n°2 : oui, je viens d'une époque où il n'y avait pas d'ordinateur portable dans les amphis). Et ce stylo plume, il écrivait fichtrement bien (alors qu'il s'agissait d'un bon vieux stylo de supermarché à 3 francs 6 sous). Tout ça pour dire que le choix de ses instruments est bien souvent primordial et que pour obtenir un joli résultat (une belle écriture ou, pour ce qui nous concerne aujourd'hui, un beau makeup) il n'y a pas que le talent qui compte, il y a aussi le bon choix de ses outils de travail.
En fait, tout vient d'une prise de conscience assez rigolote (si, si, vous allez voir :) qui, ma foi, est toute récente. Je me suis souvenue avec nostalgie (non, je déconne ;) de mes premières années de fac de Droit durant lesquelles on n'arrêtait pas de me complimenter sur mes prises de notes et mon écriture. Mon secret venait du fait que j'écrivais tous mes cours au stylo plume (remarque n°1 : oui, j'aimais me faire du mal ; remarque n°2 : oui, je viens d'une époque où il n'y avait pas d'ordinateur portable dans les amphis). Et ce stylo plume, il écrivait fichtrement bien (alors qu'il s'agissait d'un bon vieux stylo de supermarché à 3 francs 6 sous). Tout ça pour dire que le choix de ses instruments est bien souvent primordial et que pour obtenir un joli résultat (une belle écriture ou, pour ce qui nous concerne aujourd'hui, un beau makeup) il n'y a pas que le talent qui compte, il y a aussi le bon choix de ses outils de travail.
Voilà une éternité que j'avais prévu de vous proposer un petit update au sujet de ma rosacée mais j'attendais que la situation se stabilise un peu avant de vous en dire davantage. Le titre de mon article ne laisse aucune place au suspense : la rosacée est de retour après 3 belles années de tranquillité. Vous expliquer le pourquoi du comment me paraît bien compliqué mais j'ai quand-même quelques pistes (mais finalement aucune certitude). Il y a eu l'hiver froid et la chaleur sèche de notre intérieur qui fait que ma peau a souffert d'une très forte déshydratation. Il y a aussi eu un gros choc émotionnel début décembre 2018. J'ai fait le lien avec ça en réalisant que c'est pile 1 mois après cet événement que ma peau a recommencé à faire des siennes (le cycle de renouvellement naturel de la peau étant de 28 jours). Et puis il y a eu l'utilisation de produits qui, à mon avis, ne convenaient absolument pas à ma peau sensible contrairement à ce qui était écrit sur leur fiche (un gommage mécanique — quelle idée ! — et un masque purifiant). Bref, le film hydrolipidique de ma peau en a pris un sacré coup dans la tronche.
Au fil des mois, j'ai donc eu à gérer une peau très sèche et inconfortable et ça a commencé à me tracasser parce que je n'arrivais pas du tout à m'en sortir. Le début de la fin. Mon anxiété n'a fait qu'aggraver les symptômes et mes rougeurs diffuses très localisées se sont peu à peu étendues tout en se faisant plus intenses. J'ai aussi renoué avec les flushes, les bouffées de chaleur, les papules et les pustules. Bref, une chanson que je ne connais que trop bien mais dont j'avais (volontairement) oublié le degré de "chianlitude". Honnêtement, ces dernières semaines, j'ai un peu le moral en dents de scie à cause de ça même si j'essaye de ne pas en faire une maladie. Je savais que de la rosacée, on ne guérissait pas, mais après avoir vécu en paix avec ma peau pendant près de 3 ans, je croyais naïvement que la page était tournée. Aujourd'hui, j'ai l'impression de régresser et je dois, à nouveau, faire très attention aux produits que j'utilise dans ma routine de soin du visage. Le positif dans l'histoire c'est que j'ai pas mal de recul sur cette pathologie. Je la comprends mieux et je sais ce qui convient (à peu près) à ma peau quand elle est dans cet état. C'est donc un véritable retour aux sources qui s'est opéré dans ma salle de bain.
Au fil des mois, j'ai donc eu à gérer une peau très sèche et inconfortable et ça a commencé à me tracasser parce que je n'arrivais pas du tout à m'en sortir. Le début de la fin. Mon anxiété n'a fait qu'aggraver les symptômes et mes rougeurs diffuses très localisées se sont peu à peu étendues tout en se faisant plus intenses. J'ai aussi renoué avec les flushes, les bouffées de chaleur, les papules et les pustules. Bref, une chanson que je ne connais que trop bien mais dont j'avais (volontairement) oublié le degré de "chianlitude". Honnêtement, ces dernières semaines, j'ai un peu le moral en dents de scie à cause de ça même si j'essaye de ne pas en faire une maladie. Je savais que de la rosacée, on ne guérissait pas, mais après avoir vécu en paix avec ma peau pendant près de 3 ans, je croyais naïvement que la page était tournée. Aujourd'hui, j'ai l'impression de régresser et je dois, à nouveau, faire très attention aux produits que j'utilise dans ma routine de soin du visage. Le positif dans l'histoire c'est que j'ai pas mal de recul sur cette pathologie. Je la comprends mieux et je sais ce qui convient (à peu près) à ma peau quand elle est dans cet état. C'est donc un véritable retour aux sources qui s'est opéré dans ma salle de bain.
Dior n'a de cesse d'agrandir sa famille de rouges à lèvres ces derniers temps (j'ai l'impression que la maison fait partie des marques de luxe les plus prolifiques en la matière) et ce n'est pas pour me déplaire sur le fond (vous connaissez mon amour pour Dior et pour les rouges à lèvres). Malgré tout, je reconnais quand-même avoir un peu de mal à suivre le rythme parfois (je n'ai même pas encore publié ma revue sur les Lip Glow To The Max et les nouveaux Lip Maximizer !) mais le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on ne s'ennuie pas. Il y a toujours de belles nouveautés à se mettre sous la dent sur les lèvres. Revers de la médaille : on a à peine de le temps de s'extasier sur les prouesses d'une nouvelle formule méga-innovante que celle-ci se retrouve déjà — par la force des choses — reléguée à l'arrière plan. Et ce côté "fast beauty" me fait de plus en plus tiquer, surtout quand il s'agit d'une maison chic comme Dior.
Voilà donc pour mon petit laïus introductif, un brin relou-blasou (oui, j'invente des expressions ;) je le concède. Mais revenons à nos moutons, car c'est bel et bien des derniers nés de la famille Dior Addict dont je vais vous parler aujourd'hui : les joliment nommés Dior Addict Stellar Shine. Pour la petite histoire (car je sais que vous aimez les petites histoires :), mon tout premier rouge à lèvres Dior était justement un Dior Addict : le Dior Addict Extrême dans la nuance Lucky (attention les yeux). Loin d'être mon rouge à lèvres Dior préféré aujourd'hui, j'ai tout de même continué de suivre l'aventure Dior Addict Lipstick, cette gamme de rouges à lèvres qui a été déclinée en je ne sais plus combien de versions depuis son apparition en 2011 (avec l'iconique Kate Moss pour égérie). Les Dior Addict Stellar Shine en sont la dernière mouture et c'est avec un brin de nostalgie que je me penche sur leur cas aujourd'hui.
Voilà donc pour mon petit laïus introductif, un brin relou-blasou (oui, j'invente des expressions ;) je le concède. Mais revenons à nos moutons, car c'est bel et bien des derniers nés de la famille Dior Addict dont je vais vous parler aujourd'hui : les joliment nommés Dior Addict Stellar Shine. Pour la petite histoire (car je sais que vous aimez les petites histoires :), mon tout premier rouge à lèvres Dior était justement un Dior Addict : le Dior Addict Extrême dans la nuance Lucky (attention les yeux). Loin d'être mon rouge à lèvres Dior préféré aujourd'hui, j'ai tout de même continué de suivre l'aventure Dior Addict Lipstick, cette gamme de rouges à lèvres qui a été déclinée en je ne sais plus combien de versions depuis son apparition en 2011 (avec l'iconique Kate Moss pour égérie). Les Dior Addict Stellar Shine en sont la dernière mouture et c'est avec un brin de nostalgie que je me penche sur leur cas aujourd'hui.
Non mais vous le croyez ça ? On se retrouve déjà pour de nouveaux favoris beauté & lifestyle sur le blog ! Alors là les amies, je n'ai pas du tout vu le mois de mars passer et, pour ne rien vous cacher, c'est un véritable soulagement pour moi d'être arrivée ("entière" ;) à ce très cher mois d'avril. Parce que je ne sais pas si vous vous en rappelez mais, l'année dernière à la même période, j'ai dû mettre le blog entre parenthèses à cause de la tache qui était apparue dans mon oeil le premier week end d'avril — tache qui, par la force des choses, m'a tenue éloignée de mon écran d'ordinateur durant de longs mois. C'était un peu un challenge pour moi de dépasser cette date "porte-malheur". Aujourd'hui (je touche du bois) tout va bien et je vais pouvoir profiter au maximum de ce début de printemps et des vacances qui vont avec.
C'est d'ailleurs avec des petits papillons dans le coeur que je vous écris cet article parce que ma fille fête aujourd'hui son anniversaire. 4 ans déjà que notre belette est née et ça nous fait un peu tout drôle, à Monsieur BG et à moi. Elle est déjà si grande !! Bref, tout ça pour dire que je suis super heureuse de vous retrouver aujourd'hui avec mes coups de coeur du mois de mars. Encore une fois, j'ai été hyper sélective. J'ai fait de très belles découvertes le mois dernier mais je n'ai retenu que les choses que j'ai adorées plus que tout et sur lesquelles j'ai quand même un peu de recul (mon avis ne risquera donc pas de changer dans les prochains jours).
C'est d'ailleurs avec des petits papillons dans le coeur que je vous écris cet article parce que ma fille fête aujourd'hui son anniversaire. 4 ans déjà que notre belette est née et ça nous fait un peu tout drôle, à Monsieur BG et à moi. Elle est déjà si grande !! Bref, tout ça pour dire que je suis super heureuse de vous retrouver aujourd'hui avec mes coups de coeur du mois de mars. Encore une fois, j'ai été hyper sélective. J'ai fait de très belles découvertes le mois dernier mais je n'ai retenu que les choses que j'ai adorées plus que tout et sur lesquelles j'ai quand même un peu de recul (mon avis ne risquera donc pas de changer dans les prochains jours).
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