La Naked 3 d'Urban Decay mise à nu
31 janv. 2014
Il y a des choses qui ne s'expliquent pas. Mon craquage complet pour la Naked 3 d'Urban Decay fait partie de ces choses là. Je suis de celles qui n'ont jamais été attirées plus que cela par les Naked 1 et 2 lors de leur sortie (en même temps, quand la Naked 1 a pointé le bout de son nez, je commençais tout juste à bloguer et j'étais loin de tout connaître). Il faut ajouter à cela le fait que les fards à paupières en eux-même n'ont, pendant très longtemps, pas eu cette propension à me faire rêver, contrairement à un joli vernis à ongles ou à un joli rouge à lèvres. J'ai appris à m'extasier sur les palettes il y a seulement quelques années, à force de découvrir merveilles sur merveilles chez les copines blogueuses.
Et voilà qu'en novembre dernier, l'annonce de la sortie imminente de la Naked 3 a réveillé un truc insoupçonnable en moi. Au début je me suis dit que c'était l'excitation de la nouveauté. Fausse alerte, laisse tomber ma vieille ! Et puis les premières photos de la palette ont fait leur apparition. C'est là, à cet instant précis, qu'on m'a perdu pour de bon. "Je la veux." Voilà ce que j'ai pensé. C'était non négociable. J'ai veillé pour la commander en avant-première chez Sephora afin de la retrouver sous le sapin à Noël. Et c'est ce qu'il s'est passé. Commandée, reçue, emballée, déballée. Je peux maintenant le dire : "J'ai la Naked 3." Voilà, voilà... Nous sommes fin janvier et je n'y ai toujours pas touché. Sacrilège ! J'attendais juste de rédiger ce billet (et de prendre mes photos) avant de creuser et d'abîmer les fards. Quelque part, cet article va être... libérateur.
Red dingue de mon Rouge Scandal Yves Saint Laurent
30 janv. 2014
Je suis une fan absolue de rouges à lèvres. Ça, tu le sais. En la matière, je me permets à peu près toutes les couleurs, à part les trucs les plus bizarroïdes à la Lime Crime (le bleu turquoise, très peu pour moi) et le orange vif (qui me rappelle systématiquement ma maîtresse de CM1). Malgré tout, je dois reconnaître que j'ai toujours eu un peu de mal avec le rouge à lèvres rouge. Je trouve ça très beau, oh ça oui ! Mais je fais un blocage en pratique. Cela vient sûrement du fait que, pour moi, le rouge rouge reflète l'image de la femme, celle qui s'assume, l'extravertie, la nana accomplie. La femme quoi ! Moi, j'ai beau avoir 28 ans, on m'en donne facilement 5 de moins avec ma tronche de gamine (qui a vécu - parce que des gamines avec des rides sur le front et des ridules un peu partout, je n'en ai jamais vues), mon mètre 60 et mon petit 85B d'ado pré-pubère.
Du coup, le rouge à lèvres rouge sur moi me perturbe. Ça me perturbe parce que j'adore mais en même temps je ne sais pas si ça me va. Et je me demande même si je ne parais pas déguisée avec (je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire). Comme si je me prenais pour une autre... Rassure-toi, ces tergiversations ne m'ont pas empêchée de flasher sur le très beau Rouge Pur Couture 204 Rouge Scandal Yves Saint Laurent repéré chez Cecy en novembre dernier. Moi qui rêvais depuis longtemps de posséder un beau rouge sombre, froid et mat, je suis servie. Et même si je ne vais pas le porter tous les jours, je suis ravie de l'avoir dans ma collection.
Quand le vernis noir étincelle...
28 janv. 2014
Ahhhh le vernis à ongles noir... Qu'est-ce que j'ai pu en porter quand j'étais plus jeune (il y a une décennie à peu de chose près... glurps) ! Je crois en avoir vidé un nombre incalculable de flacons, de ma Seconde à mes 1ères années de Droit. Et plus ma manucure était déglinguée, mieux c'était (je crois qu'on en est toutes passées par là non ?). C'était mon look métalleuse de l'époque (non, je n'étais pas gothique mais tout le monde pensait que je l'étais). Aujourd'hui, j'écoute toujours la même musique mais j'ai un peu plus de mal à porter du vernis noir au quotidien. Je dois être devenue une ringarde relou ou une vieille mémère à chats dans ma tête, mais je préfère les nuances moins radicales, moins tranchées, les fameux "faux noirs" que je présente à la pelle sur le blog (si tu me dis que tu satures, je te dirai que je te comprends, ooooh ouuuiii !).
Il n'en reste pas moins que le noir reste une "couleur" très chic (et passe-partout faut bien l'avouer) que j'aime retrouver dans ma garde-robe. Un jeans brut et un sweat noir, c'est ma tenue décontractée de tous les jours. Et puis Cristina ne me contredira pas, rien de tel qu'une belle paire d'escarpins noirs vernis quand on veut la jouer un peu plus chicos (oui, j'avoue, j'adorerais participer aux "Reines du Shopping", hum). Finalement, les seuls vernis à ongles noirs que je m'autorise encore à porter sont ceux qui ont une particularité dans leur texture qui les dédramatise. Le Storm de Zoya et le ColorShow Woven Skyline de Gemey Maybelline en sont la parfaite illustration.
Mes petits chouchous de la semaine #1
26 janv. 2014
En ce dimanche, j'ai décidé d'inaugurer une nouvelle série d'articles sur le blog. En fait, je réalise davantage chaque jour que, j'ai beau posséder une collection faramineuse de maquillage et avoir une armoire de salle de bain pleine à craquer de soins en tous genres, j'utilise toujours plus ou moins les mêmes produits au quotidien. Evidemment, d'une semaine à l'autre, il y a quelques petits ajustements niveau routines, de jolies découvertes mais aussi de chouettes redécouvertes (sinon ça ne serait pas marrant). Chaque semaine, il y a des produits qui sortent du lot pour une raison particulière. Ils marquent ma "semaine beauté" parce que ce sont ceux que j'ai le plus aimé utiliser ces 7 derniers jours. Certains ont déjà été vus sur le blog. D'autres n'ont peut-être jamais eu droit à leur quart d'heure de gloire ici. Ce sont donc tous ces produits qui seront à l'honneur dans "Mes petits chouchous de la semaine". Aller, on entre dans le vif du sujet avec mes chouchous de la semaine qui s'achève.
Cette semaine plus que les autres, j'ai réalisé à quel point la Tangle Teezer était géniale et pouvait changer la vie de mes cheveux. J'ai eu la bonne idée de me refaire une frange bien droite (et bien trop courte - il y a eu comme un malentendu entre mon cerveau et mes ciseaux, hum...) et j'ai toujours galéré pour le brushing de celle-ci, quelle que soit la brosse utilisée (ah ça, j'en ai acheté des brosses pour ma frange, de tous poils et de tous les diamètres). Et bien j'ai découvert que la Tangle Teezer associée au séchoir était parfaite pour lisser ma frange de Jeanne d'Arc, cette brosse en plastoc ne créant pas du tout d'électricité statique malgré les multiples passages. Bref, elle me sauve bien la vie en ce moment...
Tangle Teezer : 14,05 euros chez Asos.
Comme tu le sais, entre Lush et mes cheveux, c'est une nouvelle histoire qui commence. Cette semaine j'ai vraiment adoré utiliser le Shampoing Solide Godiva dont je t'ai parlé ici. Il sent terriblement bon le jasmin, je le trouve hyper simple à utiliser, il a une formule assez chouette (à part le Sodium Lauryl Sulfate) et il fait de jolis cheveux (débarrassés de toutes les cochonneries que j'ai pu utiliser avant).
Shampoing Solide Godiva de Lush : 9,45 euros chez Lush.
Grande révolution dans ma routine teint. Depuis l'apparition de ma rosacée, je ne pouvais plus utiliser mon fond de teint chéri : l'Accord Parfait de L'Oréal en Ivoire Rosé. Je carburais donc au fond de teint La Roche Posay depuis l'été dernier mais celui-ci est devenu beaucoup trop foncé (et jaune) pour ma peau d'hiver. Dernièrement, j'ai retenté ma chance avec l'Accord Parfait et ma peau l'a très bien toléré. Je l'aime toujours autant pour sa couvrance modulable, sa texture crémeuse et sa nuance totalement raccord avec ma carnation du moment et qui, étonnamment, n'amplifie pas mes rougeurs.
Fond de teint Accord Parfait de L'Oréal : 15,50 euros chez L'Oréal.
En ce moment, j'ai pour habitude de ne porter que de l'eyeliner et du mascara (la flemme de sortir fards à paupières et pinceaux). Le Diorshow Art Pen est mon petit chouchou en la matière. Découvert un peu par hasard, je le trouve génial. Cet eyeliner feutre a une pigmentation noire de dingue, la pointe de sa mine est ultra-précise, jamais sèche, et même si sa formule n'est pas waterproof, il tient vraiment la route sur la durée. Il détrône, et de loin, tous mes autres eyeliners.
Diorshow Art Pen de Dior : 32,50 euros chez Sephora.
Enfin, cette semaine j'ai adoré porter le Shine Edition 27 Oh My Doll de Bourjois dont je t'ai déjà parlé ici. Combiné à un trait de liner noir (justement), je trouve qu'il créé un joli maquillage frais et délicat sans en faire des caisses. Sa formule hydratante est parfaite pour mes lèvres archi-sèches cet hiver. Il est très confortable et sa couleur brillante, un rose clair un poil froid, représente tout ce que j'aime quand je ne souhaite pas adopter un maquillage sophistiqué (ahhh ma fameuse notion de rouge à lèvres "tout-terrain"...).
Shine Edition 27 Oh My Doll de Bourjois : 11,22 euros chez Asos.
Cette semaine plus que les autres, j'ai réalisé à quel point la Tangle Teezer était géniale et pouvait changer la vie de mes cheveux. J'ai eu la bonne idée de me refaire une frange bien droite (et bien trop courte - il y a eu comme un malentendu entre mon cerveau et mes ciseaux, hum...) et j'ai toujours galéré pour le brushing de celle-ci, quelle que soit la brosse utilisée (ah ça, j'en ai acheté des brosses pour ma frange, de tous poils et de tous les diamètres). Et bien j'ai découvert que la Tangle Teezer associée au séchoir était parfaite pour lisser ma frange de Jeanne d'Arc, cette brosse en plastoc ne créant pas du tout d'électricité statique malgré les multiples passages. Bref, elle me sauve bien la vie en ce moment...
Tangle Teezer : 14,05 euros chez Asos.
Comme tu le sais, entre Lush et mes cheveux, c'est une nouvelle histoire qui commence. Cette semaine j'ai vraiment adoré utiliser le Shampoing Solide Godiva dont je t'ai parlé ici. Il sent terriblement bon le jasmin, je le trouve hyper simple à utiliser, il a une formule assez chouette (à part le Sodium Lauryl Sulfate) et il fait de jolis cheveux (débarrassés de toutes les cochonneries que j'ai pu utiliser avant).
Shampoing Solide Godiva de Lush : 9,45 euros chez Lush.
Grande révolution dans ma routine teint. Depuis l'apparition de ma rosacée, je ne pouvais plus utiliser mon fond de teint chéri : l'Accord Parfait de L'Oréal en Ivoire Rosé. Je carburais donc au fond de teint La Roche Posay depuis l'été dernier mais celui-ci est devenu beaucoup trop foncé (et jaune) pour ma peau d'hiver. Dernièrement, j'ai retenté ma chance avec l'Accord Parfait et ma peau l'a très bien toléré. Je l'aime toujours autant pour sa couvrance modulable, sa texture crémeuse et sa nuance totalement raccord avec ma carnation du moment et qui, étonnamment, n'amplifie pas mes rougeurs.
Fond de teint Accord Parfait de L'Oréal : 15,50 euros chez L'Oréal.
En ce moment, j'ai pour habitude de ne porter que de l'eyeliner et du mascara (la flemme de sortir fards à paupières et pinceaux). Le Diorshow Art Pen est mon petit chouchou en la matière. Découvert un peu par hasard, je le trouve génial. Cet eyeliner feutre a une pigmentation noire de dingue, la pointe de sa mine est ultra-précise, jamais sèche, et même si sa formule n'est pas waterproof, il tient vraiment la route sur la durée. Il détrône, et de loin, tous mes autres eyeliners.
Diorshow Art Pen de Dior : 32,50 euros chez Sephora.
Enfin, cette semaine j'ai adoré porter le Shine Edition 27 Oh My Doll de Bourjois dont je t'ai déjà parlé ici. Combiné à un trait de liner noir (justement), je trouve qu'il créé un joli maquillage frais et délicat sans en faire des caisses. Sa formule hydratante est parfaite pour mes lèvres archi-sèches cet hiver. Il est très confortable et sa couleur brillante, un rose clair un poil froid, représente tout ce que j'aime quand je ne souhaite pas adopter un maquillage sophistiqué (ahhh ma fameuse notion de rouge à lèvres "tout-terrain"...).
Shine Edition 27 Oh My Doll de Bourjois : 11,22 euros chez Asos.
Les collections maquillage Printemps 2014 (#1) : Dior
25 janv. 2014
Ayé ! Je ne tiens plus. Il faut à tout prix que je balance les nouvelles collections de maquillage sur le blog. Pourtant, je trouve qu'il est encore un peu tôt pour parler printemps, piou piou qui gazouille, arbres en fleurs et soleil qui fait monter la température dans les 20° (enfin tout ça, c'est un idéal que la France connaît rarement, en tout cas par chez moi). Mais voilà. Mercredi dernier, je suis passée chez Beauty Success en mode furtif (comprendre : en mode je n'étais pas maquillée, j'avais juste envie de garder ma capuche sur la tête et je ne me suis donc pas attardé dans la boutique) et j'ai eu l'agréable surprise d'y trouver deux nouvelles collections du printemps prochain : celle de Dior et celle de Chanel.
Comme j'en ai pris plein les yeux en l'espace de 2 minutes (quand je passe en mode furtif, c'est vraiment furtif !), je ne peux pas me retenir plus longtemps. Il faut que je partage tout ça. Aujourd'hui, tout de suite, maintenant. On commence en beauté avec Dior et sa magnifique collection intitulée Trianon. Inspirée de l'univers de Marie-Antoinette (version Sofia Coppola aurais-je envie d'ajouter), les couleurs poudrées et acidulées sont à l'honneur au travers de créations "roman-chics" (oui, j'invente des mots comme les journalistes) toutes plus canons les unes que les autres. M'enfin, ce n'est que mon avis. Je te laisse découvrir tout ça.
Ma routine capillaire 100% solide : Godiva & Big de Lush
24 janv. 2014
Si tu le veux bien, je te propose un petit tour dans la machine à remonter le temps pour introduire ce billet capillaire. Novembre 2013. L'automne est bel et bien installé et je constate avec amertume (mais aussi avec grande inquiétude) qu'il n'y a pas que les feuilles des arbres qui tombent et se ramassent à la pelle. Il y a aussi mes cheveux que je perds par centaines à chaque shampoing et brossage. J'ai toujours eu une nature de cheveux merdique de ce côté-là, les ayant toujours beaucoup perdus. Mais là, c'est pire que d'habitude. Je perds ma tignasse par mèches et après chaque lavage je balise un peu plus. Je décide de prendre rendez-vous chez le coiffeur pour commencer. Tout simplement pour couper mes longueurs, me disant que cela redonnera un peu de vigueur à ma chevelure. Et aussi pour avoir l'avis de ma coiffeuse, beaucoup plus calée que moi sur la question.
Finalement, ma coiffeuse finit par me rassurer. Je ne vais pas devenir chauve avant Noël. Par contre, j'ai sur la tête une quantité impressionnante de cheveux morts, au 1er sens du terme. J'avoue n'avoir alors plus vraiment de routine capillaire digne de ce nom (étant à court de Cristalliste de Kérastase depuis des semaines) et tester un peu tout et n'importe-quoi. Bilan des courses : mes cheveux sont englués de silicones et étouffent littéralement (merci le shampoing Mythic Oil au passage). Voilà. Faut pas chercher plus loin. Je ressors du salon rassurée et je me promets dans la foulée de revenir à des produits capillaires plus naturels et respectueux.
C'est ainsi que je suis revenue à Lush. Cela faisait longtemps que je n'avais plus utilisé les shampoings solides de la marque et j'avais envie d'y revenir pour leurs formules plutôt cool. Pour ne pas faire les choses à moitié, je me suis également lancée dans l'aventure après-shampoing solide. Voilà comment Godiva et Big se sont retrouvés dans ma salle de bain.
Finalement, ma coiffeuse finit par me rassurer. Je ne vais pas devenir chauve avant Noël. Par contre, j'ai sur la tête une quantité impressionnante de cheveux morts, au 1er sens du terme. J'avoue n'avoir alors plus vraiment de routine capillaire digne de ce nom (étant à court de Cristalliste de Kérastase depuis des semaines) et tester un peu tout et n'importe-quoi. Bilan des courses : mes cheveux sont englués de silicones et étouffent littéralement (merci le shampoing Mythic Oil au passage). Voilà. Faut pas chercher plus loin. Je ressors du salon rassurée et je me promets dans la foulée de revenir à des produits capillaires plus naturels et respectueux.
C'est ainsi que je suis revenue à Lush. Cela faisait longtemps que je n'avais plus utilisé les shampoings solides de la marque et j'avais envie d'y revenir pour leurs formules plutôt cool. Pour ne pas faire les choses à moitié, je me suis également lancée dans l'aventure après-shampoing solide. Voilà comment Godiva et Big se sont retrouvés dans ma salle de bain.
Je ne sais pas toi ma petite Gibberishette, mais moi quand je me maquille, j'ai une routine réglée comme du papier à musique. Je commence par le fond de teint, je continue avec l'anti-cernes et les retouches au correcteur, j'enchaîne avec le maquillage des sourcils et des yeux puis j'applique mon rouge à lèvres. Je réserve l'étape fard à joues pour la fin car je rencontre toujours la même difficulté quand il s'agit de coordonner parfaitement la couleur de mon rouge à lèvres à celle de mon blush. Combien de fois me suis-je plantée en appliquant 2 couleurs qui jurent totalement l'une par rapport à l'autre ?! Genre un rouge à lèvres rose froid et un fard à joues corail ou un gloss corail et un blush framboise...
Autant avant je ne faisais pas trop attention à ce genre de broutilles, autant maintenant j'ai tendance à faire de plus en plus attention à ces petits détails à la mords-moi-le-nœud, surtout quand il y a quelque-chose qui cloche. Mon œil amateur doit s'être habitué à l'art d'associer les couleurs à force de parcourir les blogs beauté et de regarder des vidéos. Tu n'es pas sans savoir que je n'ai pas la science infuse et que j'aime apprendre. Je me suis donc offert les deux livres de Jemma Kidd qui sont bourrés de conseils simples à comprendre pour réaliser un maquillage classique mais harmonieux. J'y ai trouvé des astuces plutôt intéressantes concernant la façon d'associer son blush à son rouge à lèvres en fonction de sa couleur de peau. Voici ce que j'en ai retenu en espérant que cela puisse aider.
Autant avant je ne faisais pas trop attention à ce genre de broutilles, autant maintenant j'ai tendance à faire de plus en plus attention à ces petits détails à la mords-moi-le-nœud, surtout quand il y a quelque-chose qui cloche. Mon œil amateur doit s'être habitué à l'art d'associer les couleurs à force de parcourir les blogs beauté et de regarder des vidéos. Tu n'es pas sans savoir que je n'ai pas la science infuse et que j'aime apprendre. Je me suis donc offert les deux livres de Jemma Kidd qui sont bourrés de conseils simples à comprendre pour réaliser un maquillage classique mais harmonieux. J'y ai trouvé des astuces plutôt intéressantes concernant la façon d'associer son blush à son rouge à lèvres en fonction de sa couleur de peau. Voici ce que j'en ai retenu en espérant que cela puisse aider.
Mes rouges à lèvres roses "tout-terrain"
21 janv. 2014
Depuis le temps que je parle de "rouges à lèvres tout-terrain" (marche aussi pour les fards à paupières et les fards à joues) dans certains de mes articles sur le blog, il était temps que je clarifie ce que j'entends par là (oui, je conçois que le terme laisse... dubitatif). Les bidules tout-terrain sont pour moi ces produits de maquillage qui me sauvent du blanc abyssal que je rencontre parfois quand je dois décider quelle couleur porter avec le reste de mon make up. Ben oui, je possède une cargaison de rouges à lèvres mais certains sont plus facilement portables que d'autres. Ceux que je qualifie de "tout-terrain" sont ceux que je porte les yeux fermés en général. Ils s'appliquent facilement, s'embarquent dans le sac à main pour les retouches et peuvent y rester des semaines pour les cas où (cas où je suis partie de chez moi sans rouge à lèvres ; cas où je n'ai pas tenu 1 heure avec le rouge qui tache au resto ; etc...).
C'est donc un peu l'équivalent du vieux jean qui a 10 ans dans la tronche mais auquel on revient toujours alors que l'on en accumule des dizaines, tous plus ou moins neufs, dans sa garde-robe. Ce n'est pas plus compliqué que ça. En ce moment, j'ai 3 rouges à lèvres tout-terrain qui ont tous vu le fond de mon sac à main, tous les 3 des roses, la couleur la plus facile à porter et qui s'accorde avec à peu près tout à mon sens.
Appelez-moi Madame ! Chapitre 4
20 janv. 2014
29 septembre 2013 - 4 heures du mat'. Je suis assise sur une chaise à observer les quelques invités qui se démènent encore sur la piste. Mon père improvise un solo de air guitar sur "La Grange" des ZZ Top (non, il n'est pas saoul - il n'a simplement pas fermé l’œil depuis 2 jours... paye les dégâts). Je réalise tout doucement que voilà, ce mariage (mon mariage !) que j'ai préparé pendant plus d'1 an touche à sa fin. J'ai les pieds en compote, je ne supporte plus ma robe qui commence sérieusement à me peser et je revois en boucle dans ma tête le déroulement de cette journée de dingue : les préparatifs stressants (fichu maquillage !) et l'émotion des cérémonies (soulagée à l'idée que je n'ai finalement pas fait de ventre-et-glisse enroulée comme un nem dans ma robe en remontant la nef de l'église).
Il faut dire que le sentiment "je me retrouve toute con" (tu noteras que je ressens un peu la même chose après avoir déballé tous mes cadeaux de Noël - seule au monde entourée des papiers cadeaux en boulettes), je l'ai vite ressenti une fois le cocktail terminé. Y a pas à dire, le jour de son mariage, on vit un drôle de truc dans sa tête. Genre les montagnes russes de l'émotion : un coup on est hyper heureuse, un coup on a juste envie de s'isoler pour souffler un coup loin de l'attention de tout le monde. Réaliser vraiment les choses qui nous arrivent n'est pas une mince affaire et c'est vraiment une fois le cul sur ma chaise, à 4 heures du mat', que j'ai réalisé.
Ce qui est super avec les collections de maquillage, c'est qu'on a toujours un petit décalage qui fait qu'on peut aisément zapper la case hiver pour sauter sur la case printemps. Ce n'est clairement pas pour me déplaire car comme tu le sais (puisque je ne fais que râler), je déteste l'hiver une fois le mois de décembre terminé (donc en gros, j'aime bien l'hiver pendant 10 jours quoi). Le mois de janvier ? J'en ai horreur (au moins aussi déprimant que le mois d'octobre). Le mois de février est un peu mieux (car plus court et c'est une période de vacances). Le mois de mars me paraît inutile (froid et pluvieux en général). Mais heureusement le printemps arrive peu de temps après. Soulagement total !
Alors à défaut d'hiberner totalement, je trépigne d'impatience en attendant l'arrivée des collections maquillage du printemps dans les parfumeries. Cela ne saurait tarder... enfin je l'espère car je n'ai presque pas vu la couleur des collections de Noël par chez moi. Ça a donc été un big fail qui, je croise les doigts, ne se renouvellera pas cette année. J'ai déjà repéré quelques jolies choses qui me font envie et je n'ai pas envie d'être frustrée à nouveau. En attendant la présentation de chacune des nouvelles collections sur le blog (j'ai trouvé qu'il était encore trop tôt pour cela), je me suis dit qu'un petit aperçu de quelques-unes d'entre elles serait déjà une belle entrée en matière.
Alors à défaut d'hiberner totalement, je trépigne d'impatience en attendant l'arrivée des collections maquillage du printemps dans les parfumeries. Cela ne saurait tarder... enfin je l'espère car je n'ai presque pas vu la couleur des collections de Noël par chez moi. Ça a donc été un big fail qui, je croise les doigts, ne se renouvellera pas cette année. J'ai déjà repéré quelques jolies choses qui me font envie et je n'ai pas envie d'être frustrée à nouveau. En attendant la présentation de chacune des nouvelles collections sur le blog (j'ai trouvé qu'il était encore trop tôt pour cela), je me suis dit qu'un petit aperçu de quelques-unes d'entre elles serait déjà une belle entrée en matière.
Baumes à lèvres : mes tubes de l'hiver
17 janv. 2014
Je ne sais plus où j'ai lu ça, mais il paraît qu'une femme mange à peu près 3 kilos de rouge à lèvres au cours de sa vie. Cette info est plutôt effrayante et je me demande si je ne vais pas exploser les scores (car oui, je serai probablement de ces mamies qui portent un bon vieux rouge à lèvres orange ou rouge flashy et qui en ont sur les dents sans le savoir - comme ma maîtresse de CM1/CM2 quoi). Pas de doute, je suis une bouffeuse de rouges à lèvres. Et je suis également une bouffeuse de baumes à lèvres. En témoigne la quantité d'articles publiés à ce sujet sur le blog.
Je suis toujours à la recherche du baume à lèvres miraculeux : celui qu'on pose le soir sur des lèvres complètement K.O. et qui fait qu'on se réveille avec des lèvres de bombasse atomique le lendemain. Ok, je crois que ce produit n'existe pas. Alors à défaut d'avoir trouvé THE baume à lèvres, j'en utilise actuellement 3. Non, pas tous en même temps (quoique je devrais essayer pour voir... non d'accord, j'oublie l'idée) ! J'alterne au gré de mes envies et de mes besoins : envie de jolies lèvres, besoin d'un soin-doudoune, envie d'un baume qui se fait totalement oublier. Ce sont tous les 3 des baumes à lèvres en tubes et c'est sans doute ce que je préfère.
Purple Hair ! Hair Shadow de Kiko
16 janv. 2014
Si tu me suis sur Pinterest (eh oui, comme tu le vois, je suis devenue une blogueuse moderne en ce début d'année avec la création de mon compte Pinterest et de mon compte Instagram 3 ans après tout le monde), alors tu sais que depuis quelques temps maintenant, je fais une fixation sur les cheveux violets (je ne compte plus le nombre de fois où j'ai tapé "purple hair" dans une quelconque barre de recherche tellement je fantasme là-dessus - la nouvelle bannière de mon blog n'y a d'ailleurs pas échappé). Il faut dire que pendant plus d'un an, je n'ai pas eu le droit de toucher à ma chevelure à cause du mariage. Pas de couleur, pas de nouvelle coupe. Nada. Fallait laisser pousser, point barre.
Du coup, une fois le mariage passé, j'ai eu envie de folie (y en a qui ont le wedding blues après le jour J, moi j'ai eu la wedding euphoria... Ok, je sais, ça n'existe pas). Parmi les symptômes, cette envie de me colorer les cheveux dans une couleur peu conventionnelle, en violet dans l'idéal. J'ai même été jusqu'à aller regarder les colorations Stargazer et à me confier à Monsieur BG qui m'a regardé bizarrement, l'air de dire "Je vais te rendre mon alliance tout compte fait." Bref, j'ai fini par abandonner l'idée en courant chez le coiffeur pour couper mes longueurs fatiguées.
Et puis fin décembre, j'ai eu la bonne idée de me rendre chez Kiko Orléans pour regarder les nouveautés de la marque, poussée par la refonte de la boutique en ligne. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que Kiko proposait aussi ces poudres colorantes compactes aux couleurs flashy que l'on voit un peu partout depuis l'apparition des Color Bug de Kevin Murphy. Hair Shadow que ça s'appelle. Ni une ni deux, j'ai embarqué le Violet dans ma besace, m'imaginant déjà avec la chevelure violette de mes rêves.
Et voilà que je m'y recolle. Après mon billet de la semaine dernière sur mes découvertes & favoris maquillage de l'année 2013 - article qui m'a d'ailleurs permis de faire le point sur toutes les jolies choses qui ont intégré mon bazar durant les 12 derniers mois (et c'est effrayant !), place au second et dernier volet de mes découvertes & favoris 2013 avec, cette fois-ci, les soins visage, corps et cheveux. Pour le coup, le bilan a été rapide à dresser puisque je n'ai clairement pas pu m'amuser avec les soins visage comme je le fais d'habitude à cause de l'arrivée de ma copine Rosa il y a 1 an tout pile ( = ma rosacée, si tu ne suis pas l'histoire dont je rebats les oreilles à tout le monde depuis des mois). Alors pour les grosses découvertes en la matière, il va falloir repasser. C'est tellement frustrant !
Heureusement, j'ai largement pu me rattraper (et combler cette frustration) en me préoccupant davantage de l'allure de ma tignasse. Avec le mariage, j'ai dû laisser pousser mes cheveux pendant des mois, retrouvant une crinière que je n'avais plus eu depuis des lustres. Alors forcément, quand on a de la longueur, c'est tout de suite plus marrant de tester moult produits (bon depuis, j'ai tout coupé). De même, j'ai pris conscience en 2013 (et mieux vaut tard que jamais) que les mains ne sont pas seulement ces bidules avec 5 doigts au bout, mais sont aussi une partie du corps dont il faut absolument prendre soin au quotidien.
Bref, voici mes soins favoris de l'année 2013, à savoir ceux que j'ai découverts l'année dernière (mais qui ne sont pas forcément des nouveautés), que j'ai présentés sur le blog lors des 12 derniers mois et qui, à mon goût et en fin de compte, sortent véritablement du lot (pour mon cas personnel).
Heureusement, j'ai largement pu me rattraper (et combler cette frustration) en me préoccupant davantage de l'allure de ma tignasse. Avec le mariage, j'ai dû laisser pousser mes cheveux pendant des mois, retrouvant une crinière que je n'avais plus eu depuis des lustres. Alors forcément, quand on a de la longueur, c'est tout de suite plus marrant de tester moult produits (bon depuis, j'ai tout coupé). De même, j'ai pris conscience en 2013 (et mieux vaut tard que jamais) que les mains ne sont pas seulement ces bidules avec 5 doigts au bout, mais sont aussi une partie du corps dont il faut absolument prendre soin au quotidien.
Bref, voici mes soins favoris de l'année 2013, à savoir ceux que j'ai découverts l'année dernière (mais qui ne sont pas forcément des nouveautés), que j'ai présentés sur le blog lors des 12 derniers mois et qui, à mon goût et en fin de compte, sortent véritablement du lot (pour mon cas personnel).
Mes vernis Essie aux couleurs de l'hiver
13 janv. 2014
En 2014, on prend les mêmes et on recommence. En matière de vernis à ongles, je dois être la blogueuse la plus chiante de la Terre et j'en suis désolée. Mais voilà, c'est plus fort que moi, plus il fait gris et moche dehors, plus je ressens le besoin de miser sur les couleurs sombres pour mes ongles. J'aime bien le contraste que cela fait avec ma peau qui est, plus que jamais, blanche comme un cul cachet avec la lumière bleutée de l'hiver. C'est idiot parce que je possède pas mal de vernis colorés et flashy. Mais non, le corail au mois de janvier, je n'y arrive pas. Je trouve toujours que ça cloche.
Heureusement, Essie a pensé à moi avec sa collection hivernale en édition limitée intitulée Shearling Darling. En effet, la marque y propose 6 nouvelles teintes bien sympathiques dont 2 m'ont littéralement tapé dans l'oeil (car comblant à la perfection ma passion pour les vernis "faux noirs" - le retour ! - et autres nuances foncées et laquées). Il s'agit du Shearling Darling - du nom de la collection (un rouge profond comme j'en ai des dizaines dans ma collection) et du Mind Your Mittens (un bleu/vert sombre de toute beauté) qui sont actuellement en soldes chez Manucure et Beauté.
Gâtée pour Noël (parce que j'ai été très sage)
10 janv. 2014
La semaine de rentrée s'achève déjà et je pense que pour la plupart d'entre nous, Noël fait déjà partie du passé et relève des souvenirs de l'année 2013. Dans ma ville (oserais-je dire mon village ?), ils ont déjà, à mon grand désarroi, rangé les décorations et autres guirlandes lumineuses. Ça me blase. Et avec ce temps gris, je trouve cela tristounet au possible. Je suis forcée de reconnaître que Noël est bel et bien terminé et je réalise que ce n'est pas en gardant le sapin de Noël dans le salon que le calendrier fera un retour en arrière (dommage !). Quand je vois ma boîte de chocolats vide, ça me rend nostalgique. Quand je range mes papiers cadeaux, je repense à cette journée (soirée plutôt) où je me suis battue avec ce cadeau difforme, impossible à emballer, et qui a donc fini en papillote (le classique). Que j'aime cette période de l'année !
Alors avant que je ne tourne définitivement la page (et afin de pouvoir pleinement me projeter au printemps - car oui, pour moi l'hiver est une saison qui ne devrait pas exister), je me suis dit que rédiger un petit billet sur les cadeaux de Noël que j'ai reçus serait une belle conclusion à tout ça. Je dois reconnaître qu'une fois encore, j'ai été pourrie gâtée. Le moment de déballer les cadeaux le matin (midi ? 4 heures ?) de Noël reste l'un de mes moments préférés de l'année et je m'en suis donc donnée à cœur joie. A croire que je n'ai pas grandi dans ma tête (je suis toujours cette gamine de 12 ans qui a sauté de joie en découvrant la Playstation et Tomb Raider 2 au pied du sapin au fond).
Monsieur BG est blasé. Monsieur BG est blasé parce qu'il se rend bien compte que mon addiction aux rouges à lèvres est arrivée à un stade qui dépasse l'entendement. Monsieur BG en a ras le bol que je lui dise (alors qu'il a le nez plongé sur son iPhone pour patienter) : "Regarde Doudou comme il est beau celui-là !". Réponse de l'intéressé : "Mmhh mmhh... [silence] Mais... [nouveau silence] T'en as pas déjà un comme ça ?". Je ne prends même plus la peine de nier : "Euh... sûrement bien que si Doudou, mais pas tout à fait quand-même". Et puis je me dis qu'il devrait s'estimer heureux. Je pourrais avoir une passion plus envahissante (collectionneuse d'armoires Ikéa - désolée, je n'ai trouvé que ça) ou plus ruineuse (collectionneuse de Louboutin - si seulement !) même si un rouge à lèvres, c'est pas donné quand-même.
Mais Monsieur BG est compréhensif et attentionné (oui oui !). Pour Noël, et sans même le savoir, nous avons conclu un deal plutôt sympa : je lui ai offert son maillot d'Ibrahimović (c'était une surprise pour lui et il ne s'en est toujours pas remis - il le regarde tous les soirs avant de dormir... au secours !) et il m'a offert le magnifique rouge à lèvres Mon Rouge de Lolita Lempicka qui me faisait terriblement de l’œil le mois dernier (relire mon article à ce sujet) en retour. Ça aussi c'était une surprise. Tu imagines donc ma joie quand j'ai déballé mon paquet le 25 décembre.
Et comme Monsieur BG fait les choses très bien (bon, en même temps il n'a eu qu'à lire mon article pour cela mais je trouve que c'est déjà bien), il a commandé la nuance que je voulais à tout prix bien que ne l'ayant jamais vue en vrai : la nuance Rose Preppy n°02. Que pensé-je finalement de ce rouge à lèvres Lolita Lempicka ? La réponse est dans ce qui suit.
Mes découvertes & favoris maquillage de l'année 2013
7 janv. 2014
Quelle tâche difficile de résumer en un seul article tout un tas d'autres que j'ai publiés au fil de l'année 2013. Néanmoins, en ce début 2014, je ne peux m'empêcher de faire un petit bilan de l'année maquillage que je laisse derrière moi et que j'ai eu plaisir à partager avec toi. Ah ça, j'en ai présenté des jolies choses sur le blog ces 12 derniers mois (quitte à torturer pas mal de Gibberishettes au passage, niark niark !). Mais au final, et bien que je commence à me faire peur avec tout mon bazar qui prend de plus en plus de place, je reviens souvent aux mêmes produits - les produits "tout terrain" comme j'aime à les appeler - quand il s'agit de me maquiller dans la vie de tous les jours. Et puis il y a aussi ces trucs qui, même si je ne les utilise pas très souvent (qu'il s'agisse d'un rouge à lèvres ou d'un vernis), ont chamboulé mon petit cœur et sont devenus des pièces majeures de ma collection make up.
Malgré les apparences, 2013 n'a pas été une année très riche en découvertes à mes yeux. Entre les événements "malheureux" (l'apparition de ma rosacée qui a quelque peu freiné l'envie de prendre soin de moi il y a tout pile 1 an) et les événements heureux (mon mariage), j'ai souvent eu la tête un peu ailleurs. Je reconnais n'avoir pas toujours été au taquet quand il s'agissait de parler des nouveautés maquillage (#blogueusepourrie), mais cela m'a permis de me pencher bien davantage sur les produits vendus en grandes surfaces que je ne pouvais pas louper en faisant mes courses, ceux là même que j'avais un tantinet délaissés en 2012.
Bref, voici mes produits de maquillage favoris de l'année 2013, à savoir ceux que j'ai découverts l'année dernière (mais qui ne sont pas forcément des nouveautés), que j'ai présentés sur le blog lors des 12 derniers mois et qui, à mon goût et en fin de compte, sortent véritablement du lot.
Deux mille quatorze
6 janv. 2014
2 heures du matin. J'en suis à mon 4ème épisode d'Esprits Criminels sur TF1 en attendant la rediff' d'un vieux Dexter. Le vent souffle et fait claquer les volets du voisin d'en face et même si je trouve cela déprimant à souhait (et vraiment très chiant quand il s'agit de prendre des photos pour le blog), je ne serais pas contre le fait d'entendre quelques gouttes de pluie claquer contre les carreaux. Ça a le don de m'apaiser et de me réconforter, alors que je suis bien au chaud sous mon plaid sur Karlstad - mon canapé Ikea. Car du réconfort, il en faut pour commencer la nouvelle année du bon pied.
La rentrée de janvier est, après la rentrée de septembre, la chose la plus déprimante qui soit. En tout cas pour moi (ça me rappelle de mauvais souvenirs de veille de rentrée d'école où il m'était impossible de fermer l’œil de la nuit). Elle marque la fin de plusieurs semaines de féerie (y a pas à dire, décembre reste quand-même un chouette mois - et je ne dis pas ça parce que c'est mon mois de naissance), illuminées par les décorations de Noël (oui, je peux m'extasier comme une débile devant 2-3 guirlandes accrochées à une gouttière dans un patelin perdu au milieu de nulle part), et enjolivées par le bonheur des petits (et des moins petits) qui trépignent d'impatience au pied du sapin.
Car justement, début janvier, ça sent le sapin pour le sapin. Ah, pas à la maison, c'est sûr. Si je pouvais, le sapin de Noël, je le garderais dans le salon jusqu'à mi-février. Heureusement, Monsieur BG est plus raisonnable (et sans doute moins nostalgique) que moi. Alors voilà. Le temps est venu de te souhaiter la bonne année, avec quelques jours de retard, je le concède. Faut dire que moi, quand je souhaite la bonne année, c'est toujours avec la boule au ventre et des trémolos dans la voix (pour toutes les raisons citées plus haut). Genre "Bonne année, bonne santé... moi je vais aller chialer en regardant ma boîte vide de Champs Elysées de Lindt tout en repensant au soir où j'ai enchaîné les 2 "Maman j'ai raté l'avion"."
Heureusement, le cours normal des choses reprend rapidement. Le changement d'année aidant, je me pose 1001 questions - comme d'hab', mais en pire (Qu'est-ce que je veux faire de cette année ? Qu'est ce que je n'ai pas aimé en 2013 ? Comment faire pour y remédier ?) et je me fixe quelques objectifs (sans pour autant parler de bonnes résolutions) pour améliorer mon quotidien de nana perfectionniste qui devrait apprendre à tolérer davantage l'imperfection car, de toute façon, le parfait n'existe pas (des trucs que j'oublie très vite au final car trop de philo tue la philo, mais c'est l'intention qui compte comme on dit). Oui, j'ai des envies de nouveauté, en témoigne le ravalement de façade qu'à subi le blog pour la 1ère fois depuis sa création il y a 2 ans et demi. Je ne te parle pas de mon envie de retourner chez le coiffeur pour tout couper, de la hâte que j'ai de faire un casse chez Ikea pour tout redécorer, de ma volonté de créer pour de bon cette fichue chaîne YouTube qui se fait décidément bien désirer (en attendant j'ai créé mon compte Pinterest et on n'est pas à l'abri qu'un compte Instagram fasse son apparition). Non, non, je ne t'en parle pas.
Mais au final, le passage à l'an 2014 (et va savoir pourquoi cette année en particulier) m'a fait réaliser la portée de ces quelques mots répétés machinalement à tout être vivant croisé en ce début d'année (collègue, ami, tonton, tata, voisin, facteur, plombier, caissière, boulangère) - les fameux "Bonne année, bonne santé !", et le sentiment d'empathie qui s'en dégage véritablement. Car plus que jamais, je prends conscience que le bonheur, la joie, l'amour et la santé sont des choses précieuses dont il faut prendre le plus grand soin. Des choses qui s'entretiennent au quotidien et qui peuvent disparaître du jour au lendemain (oui, c'est l'instant cliché-Kleenex de l'article). Merde, je me fais vieille pour de bon on dirait bien. Alors voilà, toi qui me lis, là (que tu fasses partie de mon entourage, que tu sois une Gibberishette assidue ou que tu sois une parfaite inconnue égarée sur ce blog pour je ne sais quelle raison - quelle chance !), je te souhaite une belle et heureuse année 2014 pour tout ce que cela signifie vraiment, du plus profond de mon cœur.
Bon, trêve de niaiseries. Car c'est pas le tout mais... j'ai des rouges à lèvres à gogo qui ne demandent qu'à être présentés en ces pages moi...
[Edit] Et bien voilà, j'ai désormais un compte Instagram que tu peux suivre ici (il promet d'être passionnant) ! On ne m'arrête plus.
La rentrée de janvier est, après la rentrée de septembre, la chose la plus déprimante qui soit. En tout cas pour moi (ça me rappelle de mauvais souvenirs de veille de rentrée d'école où il m'était impossible de fermer l’œil de la nuit). Elle marque la fin de plusieurs semaines de féerie (y a pas à dire, décembre reste quand-même un chouette mois - et je ne dis pas ça parce que c'est mon mois de naissance), illuminées par les décorations de Noël (oui, je peux m'extasier comme une débile devant 2-3 guirlandes accrochées à une gouttière dans un patelin perdu au milieu de nulle part), et enjolivées par le bonheur des petits (et des moins petits) qui trépignent d'impatience au pied du sapin.
Car justement, début janvier, ça sent le sapin pour le sapin. Ah, pas à la maison, c'est sûr. Si je pouvais, le sapin de Noël, je le garderais dans le salon jusqu'à mi-février. Heureusement, Monsieur BG est plus raisonnable (et sans doute moins nostalgique) que moi. Alors voilà. Le temps est venu de te souhaiter la bonne année, avec quelques jours de retard, je le concède. Faut dire que moi, quand je souhaite la bonne année, c'est toujours avec la boule au ventre et des trémolos dans la voix (pour toutes les raisons citées plus haut). Genre "Bonne année, bonne santé... moi je vais aller chialer en regardant ma boîte vide de Champs Elysées de Lindt tout en repensant au soir où j'ai enchaîné les 2 "Maman j'ai raté l'avion"."
Heureusement, le cours normal des choses reprend rapidement. Le changement d'année aidant, je me pose 1001 questions - comme d'hab', mais en pire (Qu'est-ce que je veux faire de cette année ? Qu'est ce que je n'ai pas aimé en 2013 ? Comment faire pour y remédier ?) et je me fixe quelques objectifs (sans pour autant parler de bonnes résolutions) pour améliorer mon quotidien de nana perfectionniste qui devrait apprendre à tolérer davantage l'imperfection car, de toute façon, le parfait n'existe pas (des trucs que j'oublie très vite au final car trop de philo tue la philo, mais c'est l'intention qui compte comme on dit). Oui, j'ai des envies de nouveauté, en témoigne le ravalement de façade qu'à subi le blog pour la 1ère fois depuis sa création il y a 2 ans et demi. Je ne te parle pas de mon envie de retourner chez le coiffeur pour tout couper, de la hâte que j'ai de faire un casse chez Ikea pour tout redécorer, de ma volonté de créer pour de bon cette fichue chaîne YouTube qui se fait décidément bien désirer (en attendant j'ai créé mon compte Pinterest et on n'est pas à l'abri qu'un compte Instagram fasse son apparition). Non, non, je ne t'en parle pas.
Mais au final, le passage à l'an 2014 (et va savoir pourquoi cette année en particulier) m'a fait réaliser la portée de ces quelques mots répétés machinalement à tout être vivant croisé en ce début d'année (collègue, ami, tonton, tata, voisin, facteur, plombier, caissière, boulangère) - les fameux "Bonne année, bonne santé !", et le sentiment d'empathie qui s'en dégage véritablement. Car plus que jamais, je prends conscience que le bonheur, la joie, l'amour et la santé sont des choses précieuses dont il faut prendre le plus grand soin. Des choses qui s'entretiennent au quotidien et qui peuvent disparaître du jour au lendemain (oui, c'est l'instant cliché-Kleenex de l'article). Merde, je me fais vieille pour de bon on dirait bien. Alors voilà, toi qui me lis, là (que tu fasses partie de mon entourage, que tu sois une Gibberishette assidue ou que tu sois une parfaite inconnue égarée sur ce blog pour je ne sais quelle raison - quelle chance !), je te souhaite une belle et heureuse année 2014 pour tout ce que cela signifie vraiment, du plus profond de mon cœur.
Bon, trêve de niaiseries. Car c'est pas le tout mais... j'ai des rouges à lèvres à gogo qui ne demandent qu'à être présentés en ces pages moi...
[Edit] Et bien voilà, j'ai désormais un compte Instagram que tu peux suivre ici (il promet d'être passionnant) ! On ne m'arrête plus.
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