Parfois, quand je découvre ou essaye un nouveau produit (soin ou maquillage), il m'arrive de m'imaginer la personne (ou le groupe de personnes) qui se cache derrière. Genre je visualise la réunion de braimstorming où les gars se disent "Bon, aujourd'hui on va balancer une nouvelle gamme de bidule-truc pour cibler les nénettes comme Madame BG qui vont tomber dans le panneau direct." (bon, ils ne parlent pas vraiment de moi mais tu vois le genre quoi). Quand je teste une bouse monumentale, je me dis que le mec (ou la nana, ne soyons pas machistes) s'est vraiment, mais alors vraiment, foutu de ma gueule.
Et puis il y a des fois où j'ai envie de rencontrer cette personne pour lui baiser les pieds et pour lui dire que son bidule-truc, il a juste changé ma vie. Des trucs qui ont changé ma vie, il n'y en a pas des masses. Mais parmi ceux-ci il y a assurément les bains dissolvants et autres dissolvants magiques - ces flacons remplis de dissolvant et de mousse qui promettent un démaquillage des ongles en un temps record. Car faut se l'avouer, le coton et le flacon de dissolvant qui embaume les 15m² du salon (à tel point que Dexter tire la langue, intoxiqué par les vapeurs chimiques), c'est chiant, c'est fastidieux ("Regarde Doudou, j'ai la barbe du Père Noël sur les ongles !") et ça peut éventuellement me couper l'envie de porter du vernis à ongles.
Donc oui, je remercie la personne qui a eu cette riche idée d'inventer le dissolvant pour les feignasses comme moi. Le 1er que j'ai connu est bien sûr celui de chez Sephora... que je n'ai jamais testé car j'en ai lu des vertes et des pas mûres à son sujet. Et puis cela n'a pas manqué, toutes les marques s'y sont mises. J'ai été conquise par le Dissolvant Miraculeux de Bourjois (relire mon billet), j'ai bien aimé la version de chez Vitry (relire mon billet) et voilà que je reçois (dans la Box de Noël de Monoprix) la version de L'Oréal intitulée le Dissolvant Flash (ou Le Flash Manicure). Dans ma petite tête, je me suis dit qu'un petit test comparatif opposant le dissolvant Bourjois et celui de L'Oréal serait pas mal, car j'ai moi-même bien du mal à savoir lequel je préfère...
Et puis il y a des fois où j'ai envie de rencontrer cette personne pour lui baiser les pieds et pour lui dire que son bidule-truc, il a juste changé ma vie. Des trucs qui ont changé ma vie, il n'y en a pas des masses. Mais parmi ceux-ci il y a assurément les bains dissolvants et autres dissolvants magiques - ces flacons remplis de dissolvant et de mousse qui promettent un démaquillage des ongles en un temps record. Car faut se l'avouer, le coton et le flacon de dissolvant qui embaume les 15m² du salon (à tel point que Dexter tire la langue, intoxiqué par les vapeurs chimiques), c'est chiant, c'est fastidieux ("Regarde Doudou, j'ai la barbe du Père Noël sur les ongles !") et ça peut éventuellement me couper l'envie de porter du vernis à ongles.
Donc oui, je remercie la personne qui a eu cette riche idée d'inventer le dissolvant pour les feignasses comme moi. Le 1er que j'ai connu est bien sûr celui de chez Sephora... que je n'ai jamais testé car j'en ai lu des vertes et des pas mûres à son sujet. Et puis cela n'a pas manqué, toutes les marques s'y sont mises. J'ai été conquise par le Dissolvant Miraculeux de Bourjois (relire mon billet), j'ai bien aimé la version de chez Vitry (relire mon billet) et voilà que je reçois (dans la Box de Noël de Monoprix) la version de L'Oréal intitulée le Dissolvant Flash (ou Le Flash Manicure). Dans ma petite tête, je me suis dit qu'un petit test comparatif opposant le dissolvant Bourjois et celui de L'Oréal serait pas mal, car j'ai moi-même bien du mal à savoir lequel je préfère...
Cette fois encore, à quelques jours du passage à l'an 2014, je ne peux m'empêcher de dresser un petit bilan de ce qu'a été mon année 2013 par rapport à mon addiction aux rouges à lèvres. J'ai bien conscience d'en faire à chaque fois beaucoup à propos de ces fichus tubes, mais que veux-tu, c'est devenu une passion. Elle est née avec le blog d'ailleurs. Les rouges à lèvres et moi avant BG, c'était no way ! Donc on va dire que c'est un peu la faute de personne si, cette année encore, j'ai amassé bien des dizaines de petits nouveaux (bon d'accord, ça m'arrange bien de dire ça).
J'ose tout de même espérer que je vais me calmer en 2014. D'ailleurs, je sens que j'ai commencé à devenir plus sage (non, les Show Off de Rimmel ne comptent pas, ce ne sont pas de vrais rouges à lèvres... hum !) depuis que j'ai trouvé mon rouge à lèvres rose parfait (le Rouge Dior Deauville présenté ici). Ça fait bizarre de ne plus avoir aucun but. Avant, j'avais une excuse bidon pour justifier mes achats. Mais maintenant que j'ai trouvé celui que je cherchais depuis des lustres, je me sens... anesthésiée ?! Bon, Monsieur BG en est témoin, il m'arrive toujours de faire le pied de grue devant les rouges à lèvres Dior (au cas où je serais passée à côté d'une couleur de la mort qui tue) et le reluquage de gondole pendant 10 minutes à Auchan et Leclerc est toujours d'actualité.
Parmi ces jolis bidules que l'on peut trouver en grande surface, il y a les rouges à lèvres Shine Edition de Bourjois. Le mien, le n°25 Mauve Tabloïd, j'ai eu le plaisir de le recevoir il y a quelques temps déjà. Alors qu'en ce moment je me tape une fixation sur les rouges (je veux dire : les rouges à lèvres rouges) bien opaques (quelle originalité pour Noël me diras-tu), j'ai trouvé là un joli rouge à lèvres doux et léger, tout à fait à l'opposé mais très agréable à porter les jours où je n'ai pas envie d'avoir les lèvres trop maquillées (oui, ça m'arrive parfois).
Quand je fais un petit bilan des vernis que j'ai portés cette année (facile, pour cela il suffit de regarder tous les articles vernis à ongles que j'ai publiés sur le blog en 2013), je me rends compte que la paillette n'a clairement pas eu droit de cité sur mes ongles. Je ne sais pas pourquoi à vrai dire. J'ai dû faire une overdose à un moment donné ou un truc du genre, préférant les belles laques lisses et brillantes ou les vernis ayant un shimmer (des nacres et autres micro-paillettes), ce que je trouve généralement plus raffiné. La dernière fois que j'ai porté des vraies paillettes, c'était en février apparemment (!).
Et voilà que l'envie m'est revenue avec les fêtes de fin d'année. Faut dire que quand j'ai déballé mes cartons de décorations de Noël et que je me suis retrouvée avec des paillettes plein les mains en voulant accrocher cette fichue étoile au sommet du sapin, ça m'a donné des idées. Ça tombe bien, Gemey Maybelline vient de sortir une chouette petite collection en édition limitée pour ses vernis à petit prix ColorShow. Intitulée Brocades, elle envoie de la paillette dans tous les sens. Tout à fait de circonstance donc.
Je ne sais pas ce qu'il m'est passé par la tête le jeudi 3 janvier 2013. Toujours est-il que j'ai été fichue de pondre sur mon blog (Cot cot codet ! Ok, on est mal barrées) un billet intitulé "Mes 10 bonnes résolutions beauté 2013" (à retrouver ici). Ha ha ! La bonne blague ! Je suis retombée dessus par hasard, ayant enfoui profondément cette liste dans le subconscient de mon subconscient (soit très - mais alors très, loin dans cette chose molle qui me fait office de cerveau). Faut dire que les bonnes résolutions et moi, ça fait trente-douze et je suis tellement motivée par celles-ci que je les oublie aussi vite que je les imagine (durée de vie d'une bonne résolution chez moi : 51 secondes, et encore, je suis optimiste).
Alors que l'année 2013 va bientôt tirer sa révérence, m'effleure à présent l'envie d'en dresser un petit bilan. Bon, d'accord, avant de sabler le champagne le 31, il y aura Noël, le Réveillon du 24, la bûche, les cadeaux (et la Naked 3 au pied du sapin - non, je ne fais pas de fixation voyons !). Et puis rebelote une semaine plus tard, avec toasts de tarama teintés de mélancolie ("Doudou, 2013 c'est fini, l'année de notre mariage quoi ! Tu t'rends compte ?" - "Oui Doudoune, mais lâche ta bouteille de Champomy, t'es en bad là...") et Patrick Sébastien, faisant inlassablement tourner ses serviettes à la télé, tout seul comme un gland, car personne ne regarde vraiment la télé le 31 décembre. Si ?
Je ne sais pas de quoi l'année 2014 sera faite, mais je ne peux m'empêcher de penser que 2013 a été quelque-peu... spéciale. Dans tous les sens du terme. L'année de mon mariage bien sûr, mais aussi une bonne grosse année de merde (excuse-moi pour cette vulgarité soudaine), en tout cas psychologiquement. Mais à part ça, tout va bien. Dexter a pris 500 grammes dans la bedaine, j'ai triplé ma collection de rouges à lèvres et je me réjouis à l'idée du retour de Koh Lanta sur TF1 (oui, ma vie est passionnante). En attendant, voyons-voir si j'ai été une gentille demoiselle (euh ben non, madame maintenant) et si j'ai finalement suivi (ou non) ces fameuses "10 bonnes résolutions beauté 2013". Le bilan ! Le bilan ! Ok, le voilà.
Les collections maquillage Noël 2013 (#6) : Bourjois
15 déc. 2013
Oh la vache (quelle belle entrée en matière) ! Noël approche à grands pas et plus les jours passent, plus mon excitation va crescendo. J'ai 28 ans mais j'ai l'impression de redevenir une vraie gamine en période de Fêtes. Ça me fait ça chaque année, je ne devrais pas être surprise. Faut dire que je ne suis pas mécontente de la petite liste de cadeaux que j'ai soumise au Père Noël et j'espère avoir été suffisamment sage pour pouvoir retrouver au pied du sapin les quelques jolies choses que j'ai demandées.
Oui, c'est moi la débile qui compte les jours qui la séparent du 24 décembre (et même que je le fais plusieurs fois par jours, au cas où je me serais trompée, dans l'excitation). Oui, c'est moi la gamine qui se fait un malin plaisir à dégommer les portes de son calendrier de l'avent, en louchant sur la grosse case n°24 ("Sésame, ouvre-toi !!!").
En attendant que ce fameux jour arrive (mais viiiiiiiite bon sang !), je te propose que nous continuions notre petit tour d'horizon des collections maquillage de cette fin d'année. Ce n'est pas parce que je ne trouve pas la moitié d'entre elles en boutiques que le Grinch va s'emparer de moi. Non mais ! Cette fois-ci, c'est Bourjois que j'ai décidé de mettre à l'honneur. Tout comme L'Oréal, la marque ne propose pas énormément de nouveautés pour ce Noël. Mais pour le peu de produits que l'on peut retrouver, il y a largement de quoi avoir envie de craquer (en tout cas en ce qui me concerne). Le look de Noël Bourjois joue la carte de la féerie en misant sur les effets de lumière, les couleurs froides, les textures métalliques et les finis irisés. Voici les nouveautés en détails.
Oui, c'est moi la débile qui compte les jours qui la séparent du 24 décembre (et même que je le fais plusieurs fois par jours, au cas où je me serais trompée, dans l'excitation). Oui, c'est moi la gamine qui se fait un malin plaisir à dégommer les portes de son calendrier de l'avent, en louchant sur la grosse case n°24 ("Sésame, ouvre-toi !!!").
En attendant que ce fameux jour arrive (mais viiiiiiiite bon sang !), je te propose que nous continuions notre petit tour d'horizon des collections maquillage de cette fin d'année. Ce n'est pas parce que je ne trouve pas la moitié d'entre elles en boutiques que le Grinch va s'emparer de moi. Non mais ! Cette fois-ci, c'est Bourjois que j'ai décidé de mettre à l'honneur. Tout comme L'Oréal, la marque ne propose pas énormément de nouveautés pour ce Noël. Mais pour le peu de produits que l'on peut retrouver, il y a largement de quoi avoir envie de craquer (en tout cas en ce qui me concerne). Le look de Noël Bourjois joue la carte de la féerie en misant sur les effets de lumière, les couleurs froides, les textures métalliques et les finis irisés. Voici les nouveautés en détails.
Alerte rouge ! Alerte rouge ! Et c'est le cas de le dire. Alors que je me suis appliquée, pendant plus d'un mois, à fignoler ma liste de Noël en rêvassant à ce que je voulais absolument trouver au pied du sapin ce 25 décembre 2013 (et pour une fois, j'ai été raisonnable en maquillage), voilà qu'un imprévu me tombe dessus. Le genre de truc qu'on rajoute au dernier moment sur sa wish list mais qu'on veut absolument (mais qu'on sait qu'on n'aura pas puisque la liste était déjà longue comme un bras avant ça).
L'imprévu - enfin les imprévus, les voilà : les rouges à lèvres signés Lolita Lempicka. J'ai appris qu'ils allaient arriver il y a déjà plusieurs semaines (je ne sais plus où j'avais lu l'annonce, probablement dans un magazine) mais à l'époque, bien que j'aie trouvé la chose intéressante (dès que ça parle de rouge à lèvres, ça m'intéresse forcément, ah ah !), je n'ai pas vraiment tilté. Lolita Lempicka se met au maquillage, mouais... d'accord !
Et puis voilà, les Mon Rouge (c'est leur joli petit nom), viennent de faire leur apparition (pour de vrai). Ni une ni deux, par pure conscience "beauty bloguesque" (mais bien sûr !), j'ai été jeter un œil sur le site de Lolita Lempicka pour voir de quoi il en retourne vraiment. Eh bien mal m'en a pris, j'ai eu un véritable coup de foudre pour ces nouveaux rouges à lèvres (c'était tellement prévisible en même temps).
L'imprévu - enfin les imprévus, les voilà : les rouges à lèvres signés Lolita Lempicka. J'ai appris qu'ils allaient arriver il y a déjà plusieurs semaines (je ne sais plus où j'avais lu l'annonce, probablement dans un magazine) mais à l'époque, bien que j'aie trouvé la chose intéressante (dès que ça parle de rouge à lèvres, ça m'intéresse forcément, ah ah !), je n'ai pas vraiment tilté. Lolita Lempicka se met au maquillage, mouais... d'accord !
Et puis voilà, les Mon Rouge (c'est leur joli petit nom), viennent de faire leur apparition (pour de vrai). Ni une ni deux, par pure conscience "beauty bloguesque" (mais bien sûr !), j'ai été jeter un œil sur le site de Lolita Lempicka pour voir de quoi il en retourne vraiment. Eh bien mal m'en a pris, j'ai eu un véritable coup de foudre pour ces nouveaux rouges à lèvres (c'était tellement prévisible en même temps).
Perfect Ten de bareMinerals : la palette de compète
12 déc. 2013
Ok ok, je sais. Je débarque 3 ans après la guerre avec mon article sur la palette Perfect Ten de bareMinerals. Mais voilà, je ne pouvais pas ne pas t'en parler, bien qu'il s'agisse d'une édition limitée de ce Noël 2013 et qu'elle commence donc à disparaître peu à peu des corners Sepho (elle n'est plus dispo sur le site mais elle l'est encore probablement dans certaines boutiques et ailleurs sur le web - liens en fin d'article). Faut dire qu'en attendant de retrouver la Naked 3 d'Urban Decay (eh oui, ayé, j'ai craqué à mon tour pour cette fameuse palette grâce à l'avant-première Sephora) au pied du sapin, je ronge mon frein.
J'ai donc eu l'immense plaisir de recevoir cette jolie Perfect Ten, une palette de Noël signée bareMinerals qui propose la totale : des fards à paupières, un blush, un illuminateur et 2 rouges à lèvres (et des pinceaux), le tout dans des nuances exclusives. Eh oui, rien que ça ! Je crois que c'est la seule palette de ce genre que je possède, ayant principalement des palettes de fards (point barre). Je trouve le concept du tout-en-un hyper bien fichu et je suis plus que ravie de retrouver la qualité des produits bareMinerals condensée en un seul et même (joli) objet.
(Oui, j'aime bien les titres d'articles avec des parenthèses en ce moment...) Bon ben voilà, je l'avais annoncé il y a 2 semaines. Et c'était tellement prévisible aussi. Après avoir craqué pour le Show Off Lip Lacquer de Rimmel dans la nuance Eclipse (acheté un peu par hasard à Leclerc comme je t'en ai parlé dans ce billet), s'en est suivie une véritable débandade. Genre, l'orgie de la laque à lèvres dans la maison de Madame BG. Ouais. J'ai craqué mon slip pour plein d'autres couleurs de ces Show Off (ou Apocalips, ça dépend des pays je pense) dont Rimmel fait actuellement la pub à la télé. En fait, c'est ça mon problème. Quand j'aime un truc, il me le faut dans toutes les nuances disponibles (ou presque).
Alors quand j'ai vu que ces laques à lèvres étaient dispo chez Asos (sous le nom d'Apocalips) avec des nuances différentes de celles que je peux trouver dans mon Leclerc, je n'ai pas hésité bien longtemps. Un petit code promo Asos de 20% reçu pour mon anniv' et il ne m'en a pas fallu plus pour m'offrir 4 couleurs supplémentaires. S'ajoute à cela le fait que j'ai reçu la Box de Noël by Monoprix (à gagner sur la page Facebook de l'enseigne dès demain) contenant un autre Show Off, et voilà que je suis l'heureuse propriétaire de 6 Show Off Lip Lacquer. Et j'en suis fan, fan, fan (oui, ça vaut au moins 3 fois le mot "fan") !
Clair-obscur : mon 1er (joli) vernis Marionnaud
9 déc. 2013
En ce moment, je suis une blasée des produits de luxe. Comme je te l'ai raconté samedi, le fait que les collections de maquillage de Noël des grandes maison n'arrivent pas dans les parfumeries proches de chez moi, ça me fout la mort. J'ai donc fait une croix sur les nouveaux produits Dior ainsi que sur ceux de la collection de Noël d'Yves Saint Laurent. Tristesse, quand tu nous tiens...
Mais c'est finalement un mal pour un bien (pour mes finances) car cela me permet de me re-consacrer aux marques plus abordables - celles des grandes surfaces et celles des parfumeries, que j'avais tendance à délaisser de plus en plus (quoique moins ces derniers mois). L'autre jour, alors que je sortais de chez le coiffeur (avec une chouette coupe, ce qui a le don de me regonfler le moral), je n'ai pas pu m'empêcher de mettre un pied chez Marionnaud, histoire de voir s'il y avait enfin le vernis Diorific Minuit de Dior. Et puis non, toujours pas de trace de la collection Golden Winter.
Qu'à cela ne tienne, cela m'a laissé davantage de temps pour enfin me pencher sur les nouveaux vernis Marionnaud qui me font envie depuis belle lurette. Il faut dire que pour le coup, l'enseigne a joliment réinventé sa ligne de maquillage (qu'il s'agisse aussi bien des vernis que des fards à paupières ou des rouges à lèvres). Parmi la profusion de nuances disponibles, j'ai immédiatement craqué pour les nouveaux vernis de Noël. Parmi ceux-ci, Monsieur BG s'est gentiment proposé de m'offrir la nuance 42 Clair-obscur pour mon anniversaire. J'en ai de la chance ! Et je ne suis pas déçue.
Me revoilà donc. Et je reviens comme j'étais partie avec la suite des présentations des nouvelles collections maquillage de Noël (retour en douceur donc). J'avoue que mon excitation concernant celles-ci est vraiment retombée car je suis définitivement blasée. Dans mon bled paumé, ni Beauty Success ni Marionnaud ne propose les nouvelles collections Dior et Yves Saint Laurent (ben non, toujours pas arrivées depuis la dernière fois). C'est très très frustrant et je ne comprends pas vraiment pourquoi ces boutiques de province ne sont pas encore approvisionnées. Est-ce le cas par chez toi ma petite Gibberishette ? Bref, je commence à désespérer et mon engouement va décroissant.
Heureusement, l'esprit de Noël est bel et bien là à la maison. Le sapin trône fièrement dans le salon (Dexter s'amuse comme un fou dans les branches - il se prend probablement pour un lynx de Sybérie), les Yankee Candle réchauffent l'atmosphère (à défaut d'avoir un vrai feu de cheminée) et le bureau commence à ressembler à un dépôt Amazon. L'autre jour, alors que j'étais en train de feuilleter le dernier numéro de Glamour, je suis tombée sur une pub concernant la collection de Noël de L'Oréal. Je me suis dit qu'il était donc temps que je t'en touche deux mots.
"Regard Carat, Bouche Parure, Ongles Joyaux..." tout est dit. Intitulée Million Carats, la collection de L'Oréal joue la carte des couleurs métalliques et précieuses avec une petite sélection de produits (pas tous de vraies nouveautés) saturés de paillettes dorées et/ou argentées. Rien de bien original me diras-tu. Mais au moins on retrouve vraiment l'esprit des Fêtes de fin d'année. Voici les quelques nouveautés que la marque nous propose au travers de 2 looks différents - le Look Or et le Look Platine.
Les collections maquillage Noël 2013 (#4) : Guerlain
30 nov. 2013
C'est demain que les choses sérieuses commencent. Le calendrier de l'avent est prêt. Paré à l'ouverture de la 1ère fenêtre pour pouvoir délivrer un petit chocolat (miam !). C'est typiquement le genre de truc qui me met en joie quand arrive le mois de décembre. Il fait froid (et/ou il pleut) et il fait nuit à 15h30 mais au moins, on sait qu'à la fin du mois ce ne sera que du bonheur. Bon, accessoirement, je vais me choper 1 an de plus dans la tronche, mais chut ! Vivement le sapin de Noël, la réouverture des cartons de décorations ("Tiens, j'avais déjà acheté des boules violettes ? Tant pis, ça m'en fera 22.") et l'empilage de cartons Amazon remplis des cadeaux qu'il faudra emballer (si possible, pas au dernier moment comme tous les ans).
Bon, à côté de ça, je dois t'avouer que je suis très en colère. Bouhou ! Rien de grave dans l'absolu mais quelle n'a pas été ma déception de voir qu'aucune nouvelle collection de maquillage de Noël n'était arrivée, que ce soit dans mon Marionnaud ou dans mon Beauty Success. Toujours pas de Dior ni de Yves Saint Laurent. C'est relativement agaçant (surtout que j'imagine que ces collections sont arrivées depuis des lustres dans les boutiques des grandes villes). A côté de cela, il y a Guerlain et sa collection Crazy Paris qui est la 1ère (et donc la seule, avec celle de Chanel) que j'ai pu voir en vrai.
Pour ce Noël 2013, Guerlain joue la carte du glamour et du sexy avec une collection qui sort un peu de l'ordinaire. Le rose acidulé et le noir laqué s'associent dans un univers de pin-up parisienne, rendant ainsi hommage à la réouverture de la mythique boutique 68 Champs-Elysées de la maison de luxe. On reste donc dans une thématique résolument féminine (comme l'était celle de la collection d'automne) tout en retrouvant un esprit festif qui donne envie de s'encanailler. Place aux nouveautés.
Dans mes habitudes quotidiennes (quel beau pléonasme !), il y a clairement du mieux. J'arrive désormais à me dire qu'il faut que j'hydrate mes lèvres et mes mains tous les jours, au moins une fois par jour. Comme je t'en ai parlé dans ce billet, la meilleure astuce que j'aie trouvée est celle de mettre tout le bazar sur ma table de nuit. Comme ça, il m'est impossible de me dire, une fois au lit : "Zut, j'ai oublié de me crémer les mains. Le tube est trop loin, je ferai ça demain." (et donc, jamais). Im-pos-si-ble ! Et puis du coup, la crème pour les mains est devenu un petit rituel nocturne fort appréciable car très délassant et apaisant (oui, j'adore me masser mains et doigts durant de longues minutes pendant que je dévore l'Intégrale 4 du Trône de Fer).
J'ai toujours du mal à trouver des crèmes pour les mains qui me plaisent car je suis plutôt difficile avec les textures. J'aime bien les formules que l'on peut masser longuement sur les mains mais j'ai horreur de celles qui laissent un film archi-gras et qui me donnent surtout envie de courir dans la salle de bain pour nettoyer tout ça. Or, l'un ne va pas sans l'autre en général. Récemment, j'ai quand-même réussi à trouver une crème que je trouve parfaite (et dont je t'ai aussi déjà parlé) : la Crème Mains Réparation Intense de CicaBiafine (vue ici). Toutefois, je te l'accorde, pour le côté glamour, on repassera (même si j'aime bien son odeur de crème cocooning).
Et puis la semaine dernière, j'ai eu l'immense plaisir de découvrir dans ma boîte aux lettres les nouvelles crèmes pour les mains signées Caudalie : les Crèmes Gourmandes Mains & Ongles "Les Petites Récoltes" qui sont de jolies éditions limitées de cette fin d'année. Honnêtement, ayant trouvé mon Graal avec la crème Biafine et vu mon seuil de tolérance en matière de crème pour les mains, je n'en attendais pas grand-chose. Et puis ça a été la claque dans ma tronche, un véritable coup de foudre pour ces 3 tubes gourmands à petit prix.
J'ai toujours du mal à trouver des crèmes pour les mains qui me plaisent car je suis plutôt difficile avec les textures. J'aime bien les formules que l'on peut masser longuement sur les mains mais j'ai horreur de celles qui laissent un film archi-gras et qui me donnent surtout envie de courir dans la salle de bain pour nettoyer tout ça. Or, l'un ne va pas sans l'autre en général. Récemment, j'ai quand-même réussi à trouver une crème que je trouve parfaite (et dont je t'ai aussi déjà parlé) : la Crème Mains Réparation Intense de CicaBiafine (vue ici). Toutefois, je te l'accorde, pour le côté glamour, on repassera (même si j'aime bien son odeur de crème cocooning).
Et puis la semaine dernière, j'ai eu l'immense plaisir de découvrir dans ma boîte aux lettres les nouvelles crèmes pour les mains signées Caudalie : les Crèmes Gourmandes Mains & Ongles "Les Petites Récoltes" qui sont de jolies éditions limitées de cette fin d'année. Honnêtement, ayant trouvé mon Graal avec la crème Biafine et vu mon seuil de tolérance en matière de crème pour les mains, je n'en attendais pas grand-chose. Et puis ça a été la claque dans ma tronche, un véritable coup de foudre pour ces 3 tubes gourmands à petit prix.
Ma petite recette d'exfoliant pour lèvres H.S.
28 nov. 2013
Je ne sais pas ce qu'il y a dans l'air en ce moment (enfin si, du froid et du chauffage) mais bon sang, j'ai les lèvres d'une sécheresse assez stupéfiante. En temps normal - je le sais, je ne les hydrate jamais assez (tout comme mes mains d'ailleurs, mais j'y travaille). Mais depuis quelques jours, ma bouche est devenue l'équivalent du désert de Gobi, m'accrochant par conséquent à mon baume à lèvres comme à une gourde de flotte en plein cagnard. Le fait que je porte pas mal de rouge à lèvres n'arrange rien, c'est sûr. Mais quand je n'en porte pas, j'ai tendance à vouloir humecter mes lèvres avec ma salive, ce qui a l'effet inverse puisque la salive contient des enzymes digestives (l'amylase et la maltase) qui assèchent encore plus. Grrr !
J'ai beau mettre du baume à lèvres tous les soirs, mes lèvres continuent leur trip peaux sèches et crevasses moches (super pour le maquillage ça !). Du coup, l'autre jour, j'ai voulu faire place nette en décidant d'exfolier tout ça avec mon exfoliant à lèvres Lush. Sauf que voilà, je me suis retrouvée face à un truc qui puait la mort. Une odeur rance vraiment pas ragoûtante (loin du truc sucré de base). Bref, mon gommage pour les lèvres de chez Lush est périmé et bon pour aller à la poubelle. Re-grrr !
Qu'à cela ne tienne, se fabriquer un exfoliant pour les lèvres c'est, à mon avis, le truc le plus simple de la Terre (la preuve, j'y suis arrivée). Il faut dire qu'internet regorge d'une multitude de recettes faciles, rapides et économiques. Rien de bien sorcier en substance et impossible de se planter. La feignasse qui sommeille en moi ne s'étant pas manifestée, je me suis donc lancée à mon tour dans l'aventure et je dois dire que je ne suis pas mécontente du résultat. J'ai donc décidé de partager ma petite recette facile et naturelle avec toi.
J'ai beau mettre du baume à lèvres tous les soirs, mes lèvres continuent leur trip peaux sèches et crevasses moches (super pour le maquillage ça !). Du coup, l'autre jour, j'ai voulu faire place nette en décidant d'exfolier tout ça avec mon exfoliant à lèvres Lush. Sauf que voilà, je me suis retrouvée face à un truc qui puait la mort. Une odeur rance vraiment pas ragoûtante (loin du truc sucré de base). Bref, mon gommage pour les lèvres de chez Lush est périmé et bon pour aller à la poubelle. Re-grrr !
Bloody Burgundy
26 nov. 2013
Dans quelques-uns de mes articles, il m'est arrivé d'écrire que je suis grande dévoreuse de livres. Ça peut paraître un peu pompeux de balancer ça comme ça, car on s'imagine tout de suite la nana fan de lettres, philosophe à ses heures perdues, celle-là même qui dit que la télé est le fléau du 21ème siècle et qu'internet nous tuera tous. Elle fait genre quoi... Alors que moi, je suis juste à l'opposé de tout ça. Les livres que je lis sont loin d'être des prix Goncourt et je suis sûre qu'il y en a pas mal qui auraient honte d'avoir une bibliothèque comme la mienne. Mais comment dire... M'en fous !
Ben oui, en littérature, je suis (très) bon public. C'est à l'adolescence que j'ai commencé à lire pour mon plaisir, et ce, en découvrant la Chronique des Vampires d'Anne Rice. J'ai dévoré tous les bouquins en quelques mois, achetant les derniers tomes au fil des parutions. Du coup, j'ai toujours adoré le monde des vampires. Et je fais partie de celles, et je n'en ai pas honte, qui ont dévoré les 4 tomes de Twilight (loin du prix Goncourt, j'avais prévenu !) et qui ne se lasse pas de les relire en cas de disette. Bon, je me rattrape si je dis que j'ai évidemment lu le Dracula de Bram Stocker ? De même, je suis accro à Charlaine Harris et à sa Communauté du Sud - True Blood en VO (et à toutes ses autres sagas d'ailleurs), que j'ai découvertes avant même de savoir qu'il y avait une série (styyyyle, la meuf ! Hannnn !).
![]() |
Oui, j'ai toujours une bouteille de Tru Blood chez moi, au cas où Eric Northman passerait dans le coin... |
Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours eu une attirance pour ces "buveurs de sang". Aujourd'hui, je me suis un peu calmée (overdose du genre) mais, va savoir si c'est lié ou pas, la couleur sang (et ce qui s'en rapproche) reste l'une de mes préférées en maquillage (ah, tu commences à voir où je veux en venir). Oui, c'est glauque mais j'assume. En même temps, dire que la couleur du vin reste l'une de mes préférées m'aurait fait passer pour une alcoolo. Alors l'un dans l'autre... Comme tu le sais, je suis dans ma période burgundy (couleur bourgogne en VF) en matière de vernis et de rouges à lèvres. Et je viens de trouver le vernis burgundy parfait en la personne du Violet N°1 de chez Manucurist. Dans la même tonalité, j'ai complètement craqué pour le Show Off Lip Lacquer (Apocalips) 304 Eclipse de Rimmel, une chouette nouveauté (nouveauté dans mon Leclerc en tout cas).
Appelez-moi Madame ! Chapitre 3
25 nov. 2013
On en vient donc au principal avec les cérémonies, c'est à dire les trucs qui font tout le mariage. Parce que oui, j'ai eu tendance à l'oublier parfois, le mariage ce n'est pas que pompons en papier de soie, bouquets de fleurs, robe de mariée et arbre à vœux. C'est aussi et surtout le jour où on doit dire "Oui". C'est juste le moment où tout bascule quand tu prononces ce mot de 3 lettres. T'as pas intérêt à avoir un chat dans la gorge à ce moment là, genre : "Mademoiselle BG, voulez-vous prendre pour époux Monsieur BG ici présent ? - Urrhwwuiiiii !" (Chewbacca, sors de ce corps !) Je me suis aussi imaginée faire une blague, en répondant "Non", pour voir ce que ça fait. Mais je me suis dit que ça n'allait faire rire que moi et que Monsieur BG n'y survivrait pas (et la vision d'un camion de pompier et d'une ambulance du SAMU devant la Mairie ne m’enchantait guère).
Avec Monsieur BG, on a voulu faire lesmalins choses en grand avec cérémonie à la mairie puis bénédiction nuptiale à l'église. Autant te dire qu'une fois le jour J venu, debout devant la Mairie avec tous ces gens autour (mais qui sont-ils ? Ah oui, les invités...), je me suis demandé si j'allais survivre à TOUT ça. Faut dire que juchée sur mes talons de 12, j'avais déjà les jambes en coton avant même de gravir les marches de la Mairie. Alors pour la bénédiction nuptiale prévue une heure après, je n'ai pas pu m'empêcher de m'imaginer en train de me vautrer, de m'enrouler dans mon voile façon maki japonais et de faire du ventre-et-glisse dans la nef de l'église. Au moins, on n'aurait pas pu me reprocher un manque d'originalité pour mon entrée.
Mais finalement, et à mon plus grand soulagement, tout s'est déroulé à merveille (enfin... à quelques détails près, sinon ça aurait été moins drôle - les crampes aux orteils, c'est mortel !).
Avec Monsieur BG, on a voulu faire les
Mais finalement, et à mon plus grand soulagement, tout s'est déroulé à merveille (enfin... à quelques détails près, sinon ça aurait été moins drôle - les crampes aux orteils, c'est mortel !).
Les collections maquillage Noël 2013 (#3) : Kiko
23 nov. 2013
L'arrivée de Kiko à Orléans (soit à 1 heure et des broutilles de chez moi) est la meilleure chose qui soit arrivée à cette ville depuis le tram et... l'arrivée de Lush l'année dernière. Ok, j'exagère. Disons que Kiko et moi, c'est un peu l'amour fou. J'ai découvert la marque via la blogosphère il y a 3 ans. Je n'avais jamais entendu parler de Kiko avant puisque le Centre de la France est un petit peu un no man's land à lui tout seul, très souvent déserté pas les boutiques les plus intéressantes de la Terre. Et puis quand j'ai enfin pu mettre un pied dans une boutique parisienne de la marque, ça a été... orgasmique. Bon, en vrai, ça a été l'enfer : odeurs de transpi, musique à donf', fards à paupières et vernis à ongles en pagaille, paniers renversés et foire d'empoigne pour atteindre la caisse au fond du magasin. L'ho-rreur ! Heureusement, à Orléans, c'est grand et c'est tout de suite plus vivable et agréable.
Et ça tombe bien ! Car j'irais bien refaire un tour du côté de chezSwann Kiko rien que pour aller regarder de mes propres yeux et pour de vrai la collection de Noël de la marque intitulée Digital Emotion. Cette collection détonne parmi les autres Holiday Collections qui font tout doucement (trop doucement même !!) leur apparition en ce moment. Avec Kiko, on entre dans un univers Cyber qui mêle couleurs intenses et finis lumineux pailletés et perlés. Ça ne fait pas toujours très Noël au niveau des nuances mises en avant (les couleurs froides sont à l'honneur), mais il y a clairement de quoi s'offrir ou offrir de jolis cadeaux.
Et ça tombe bien ! Car j'irais bien refaire un tour du côté de chez
Je l'avoue. J'ai été une vilaine fille désobéissante. Le genre à se plaindre de sa rosacée dans tous ses articles estampillés "Soins du visage" mais à jouer avec le feu en ne résistant pas à la tentation de tester une nouveauté en la matière. Il faut dire que j'ai eu la grande chance cette année, grâce à Teddy de Planète Beauté, de faire partie du Jury des Grands Prix des Lecteurs-Testeurs du magazine Famili pour élire les produits de l'année (voilà pourquoi on peut retrouver ma trombine dans le n°226 actuellement en kiosques). Du coup, au fil des mois, j'ai reçu plusieurs produits que j'ai testés (sans faire n'importe-quoi, promis !) afin de désigner mon coup de cœur parmi la sélection.
Je n'irai pas jusqu'à dire que le choix était évident, mais parmi tous ces produits, il y en a un qui est clairement sorti du lot : le Masque Détox Vitaminé à l'Eau d'Orange de Bio-Beauté by Nuxe. Ce machin ne paye pourtant pas de mine dans son pot en plastique orange et blanc, le genre de truc qui ne m'attire pas trop en général. Mais à l'intérieur, c'est que du bonheur (oui, j'ai conscience de la niaiserie de cette phrase). Moi qui n'utilise plus trop (voire plus du tout) de produits disons... "exotiques" (je suis abonnée à Bioderma, Avène et La Roche Posay), cette parenthèse pleine de pep's a fait un bien fou à mon moral (voir autre chose de temps en temps ça fait du bien) et à ma peau.
Beauty Blender : je jette l'éponge ?
21 nov. 2013
L'été dernier, je me suis enfin lancée. Après des heures et des heures à retourner la question (la fameuse, celle que nous nous posons toutes) - "J'achète ou j'achète pas ?", dans ma tête, j'ai fini par cliquer sur "valider le panier". Autant il y a des fois où je le fais trop plutôt facilement, autant il m'arrive parfois de douter, de cliquer en fermant les yeux, en craignant le pire, me disant que non, ce n'est pas vraiment moi qui ai validé, c'est mon index qui a ripé sur la souris. Cela faisait 2 ans que j'entendais parler du Beauty Blender un peu partout sur les blogs et dans les vidéos. Des louanges en veux-tu en voilà. Mais aussi quelques critiques éparses.
Comme je suis du genre à me dire que pour me faire ma propre opinion il n'y a pas mieux placée que moi-même (car une blogueuse c'est sympa - ah ça oui ! je ne vais pas me tirer une balle dans le pied quand-même ! - mais il faut toujours garder en mémoire qu'un avis reste très subjectif, variant en fonction des curseurs "attentes", "besoins" et "constitution physique" - j'ai pas trouvé mieux comme terme - de la personne qui l'écrit), j'ai doncjeté mon argent par les fenêtres acheté cette fameuse éponge à fond de teint en forme d’œuf. Mais ai-je bien fait ? Mouais...
Je ne te refais pas le coup du petit topo sur ce qu'est le Beauty Blender, sa vie, son oeuvre, parce que j'avais déjà tout expliqué dans cet article. En 1 phrase : c'est une éponge rose sans latex et en forme d’œuf qui s'utilise mouillée et qui permet d'appliquer le fond de teint en offrant une couvrance modulable et un fini flawless, tout en naturel, qu'on ne peut soi-disant pas obtenir avec un pinceau. Voilà, en gros, c'est ça le Beauty Blender. En tout cas sur le papier.
Comme je suis du genre à me dire que pour me faire ma propre opinion il n'y a pas mieux placée que moi-même (car une blogueuse c'est sympa - ah ça oui ! je ne vais pas me tirer une balle dans le pied quand-même ! - mais il faut toujours garder en mémoire qu'un avis reste très subjectif, variant en fonction des curseurs "attentes", "besoins" et "constitution physique" - j'ai pas trouvé mieux comme terme - de la personne qui l'écrit), j'ai donc
Sur ma table de chevet...
19 nov. 2013
Qu'on se le dise, je passe énormément de temps dans mon lit à faire autre chose que dormir. Et pas d'arrières pensées coquines, je te vois venir... Je suis une personne qu'on pourrait considérer comme "insomniaque" (même si je n'aime pas ce terme) depuis... pfiouuuu, mon adolescence. Je ne me réveille pas toutes les heures pendant mon sommeil mais je mets en moyenne 2 heures pour m'endormir, même quand je suis morte de fatigue (le genre à m'endormir sur le canapé devant ma série du soir et, une fois dans mon lit, à ne plus pouvoir fermer l’œil).
Bien sûr, j'ai eu divers traitements pour la chose (l'équivalent du Vidal) et j'ai suivi 1001 conseils (le sport, le psy, la lecture, la relaxation, se lever plus tôt - ce qui, paradoxalement, me fait m'endormir encore plus tard car plus je suis naze et plus je suis sur les nerfs) mis à part celui d'aller dans un Centre du Sommeil pour me faire analyser le cervelet. Du coup, dans mon lit, il faut que je m'occupe, j'y fais ma petite vie (ce que me déconseillerait fortement mon médecin car "le lit doit rester l'endroit où l'on dort"). Fort heureusement, Monsieur BG pionce comme une marmotte à côté. Et je ne parle pas de Dexter qui ronfle 20 heures sur 24, ce qui me laisse pantoise et quelque-peu envieuse.
Inutile de te dire que ma table de chevet (et le large périmètre l'environnant) est un condensé de ma vie. On y trouve de tout : mon portable, des gâteaux (en ce moment, je suis brioche aux pépites de chocolat, miam !), à boire (l'un ne va pas sans l'autre voyons), des piles de magazines, mes livres sur le Canon 650D que je potasse, mon bouquin du moment (en ce moment c'est "Le Don du Loup" de Anne Rice), mon Simple Diary et, bien sûr, tout un tas de produits de beauté et d'accessoires dont je me sers (ou pourrais me servir) pendant mon rituel pré-dodo ou plus tard dans la nuit quand le sommeil se fait désirer.
In cosmic love with Le Vernis Taboo de Chanel
18 nov. 2013
Il y a des nanas qui voient les choses venir, qui lancent des tendances, qui flairent le bon filon et se retrouvent précurseurs dans leur domaine. Et il y a les autres. Celles qui suivent les tendances comme des moutons (ce terme ne me dérange pas, les moutons c'est peut-être un peu con, mais c'est mignon), qui sont parfois frileuses, qui se mettent un bon coup de pied aux fesses en se disant "Aller, soyons folle !" et qui ont, en général, cette propension à se réveiller 3 plombes après tout le monde. Mauvaise nouvelle pour toi ma petite Gibberishette, je suis une blogueuse à retardement.
Oui, je suis cette fille qui peut avoir un gros coup de cœur, 3 ans après tout le monde, pour un film qui n'intéresse alors plus personne (celui-là même au sujet duquel elle disait avec son air supérieur "Titanic, Di Caprio, histoire d'amour... Han han jamais de la life, c'est pour les niaises !"), donc bien après le déluge (ou la collision avec l'iceberg oserais-je dire, ha ha !). Je suis cette fille qui découvre des groupes de musique grâce à 1 chanson en particulier et qui se rend compte que le groupe a déjà sorti 3 albums (je pense à Florence + The Machine que j'adore et que je ne connais que depuis 1 an et des brouettes - tu noteras d'ailleurs la référence à "Cosmic Love" dans mon titre). Enfin, je suis cette fille qui découvre des petites merveilles en maquillage 3 saisons en retard (si ce n'est plus parfois).
Car oui, je viens tout juste de découvrir cette petite pépite qu'est Le Vernis 583 Taboo de Chanel. Je suis tombée dessus par hasard, tandis que je mettais mon nez partout chez Marionnaud, et j'ai littéralement flashé dessus, étonnée de ne pas en avoir entendu parler avant. Je l'ai donc fait mien et me suis empressée de me renseigner à son sujet sur internet, histoire de voir s'il avait déjà fait parler de lui... Et puis ben, euh... En fait, tout le monde (ou presque) semble le connaître ce vernis, mais moi, je suis visiblement passée à côté. Bref, encore une fois, je suis à la ramasse. Qu'à cela ne tienne, le mal est réparé et je ne suis pas peu fière de te montrer cette merveille de vernis aujourd'hui (mieux vaut tard que jamais comme on dit).
Les collections maquillage Noël 2013 (#2) : Chanel
16 nov. 2013
Ça y est, les hostilités sont lancées, ma liste de cadeaux s'allonge à vue d’œil. Il faut dire qu'en plus de Noël, il y a aussi mon anniversaire qui approche à grands pas (une bonne raison d'avoir 2 fois plus d'idées de cadeaux). D'ailleurs, et comme tous les ans, j'utilise le site Boogspace pour mettre ma wish list en ligne, comme tous les membres de ma famille, ce qui permet de savoir qui veut quoi pour le 25 décembre (et aussi d'éviter d'acheter des cadeaux en double). Bon, évidemment, je pollue tout avec ma liste - longue comme mon bras, de produits de maquillage (mais aussi de livres). L'arrivée (au compte-goutte) des collections maquillage de Noël n'arrange rien à l'affaire.
Pour le moment (et je ne sais pas ce qu'ils trafiquent dans les boutiques), je n'ai vu de mes propres yeux que la collection de Noël de Guerlain et celle de Chanel, mercredi dernier. Pour les autres, il va falloir attendre encore un peu visiblement. Du coup, c'est de la collection Chanel que je vais te parler cette fois-ci. Intitulée Nuit Infinie, la maison joue - comme à son habitude - avec la sophistication en fêtant Noël tout en retenue.
Il faut dire que Chanel sort rarement des sentiers battus. Pour cette Holiday Collection, les nuances neutres se mêlent joliment à la flamboyance du rouge. Une petite pincée de paillettes et de métal histoire de montrer qu'il s'agit bien d'une collection de fêtes, et puis c'est tout. Les yeux et les lèvres sont clairement à l'honneur pour un make up raffiné et délicat. Je dois avouer que je m'ennuie profondément avec Chanel en général. Et cette collection ne me laissera sans doute pas un souvenir impérissable, exception faite de 2 ou 3 (ou 4 ?) jolies choses.
Chic ! Des liners métalliques !
15 nov. 2013
Si mes souvenirs sont bons (mais je ne suis pas à l'abri d'avoir la mémoire qui flanche), l'un des premiers produits de maquillage que j'ai eu dans ma trousse de beauté était un crayon khôl noir (accompagné d'un blush car je ne supportais pas du tout ma peau claire à l'époque). Ma mère, commençant clairement à en avoir marre que je lui pique le sien, m'a rapidement fait acheter un crayon, un pour moi, un Bourjois (sur ses conseils). Un noir de surcroît. Je m'en barbouillais partout : sur les muqueuses (persuadée que cela réduisait la grosseur de mes yeux) puis en guise de liner (ça a été la révolution dans mon slip le jour où j'ai pensé réussir réussi mon premier trait au ras des cils supérieurs).
Sur ma lancée, je me suis permis quelques extravagances : un crayon bleu de chez Yves Rocher et un crayon vert foncé que je piquais dans le bazar de la grande sœur (je piquais plein de trucs en fait). A suivi ensuite une période no color. Plus question de mettre de la couleur autour de mes mirettes. Noir c'était noir, il n'y avait plus d'espoir. Je me souviens aussi que c'était la croix et la bannière pour trouver un vrai crayon qui marque. Ça peut paraître con dit comme ça, mais oui, y a des marques qui vendent (et même encore aujourd'hui) des crayons qui n'écrivent pas. Je me demande toujours pourquoi... Je suis donc toujours revenue à Bourjois qui ne m'a jamais déçue en la matière.
Et puis depuis peu, je découvre les Liner Métallic Agnès b. des Créateurs de Beauté. Ah ça, ils envoient de la couleur eux ! J'ai eu la chance d'en recevoir suffisamment au fil du temps pour me créer une petite collection. J'avoue m'être très longtemps demandé ce que j'allais faire de ces bidules parce que je reste une inconditionnelle du liner noir. Qu'à cela ne tienne, un jour d'ennui profond j'ai tenté le trait de couleur et j'ai, contre toute attente, plutôt aimé ça.
Rouge Dior 671 Deauville : la perfection.
14 nov. 2013
En plus de 2 années de blogging (bon sang que le temps passe vite !), j'en ai testé des produits et du maquillage. Ah ça oui ! Mais il m'arrive encore de m'émerveiller pour un rien, de découvrir de chouettes choses et d'avoir de nouvelles révélations et des jolis coups de cœur à foison. Je crois ne jamais pouvoir devenir blasée. Des rouges à lèvres, j'en ai une sacrée collection. J'en suis au point de me dire qu'il faudrait peut-être que je tienne un petit inventaire de toutes les couleurs que je possède déjà car je ne suis pas à l'abri d'avoir des nuances en double ou en triple exemplaire. Souvent, avant d'acheter, je me demande : "J'en ai pas déjà 1 un comme ça ?". Mais la réponse ne vient jamais. J'ai tellement de rouges à lèvres que j'en viens à oublier l'existence de certains. Par exemple, il y a peu, j'ai retrouvé dans mon sac à main un Rouge Caresse de L'Oréal que je ne me souvenais même plus avoir acheté. Quel gâchis !
Et puis l'autre jour, alors que je feuilletais mon magazine féminin préféré (sans doute Be ou Glamour, ou Cosmo, ou Marie-Claire, ou Grazia... oui, je lis beaucoup), je suis tombée sur la pub des Rouge Dior avec Natalie Portman qui nous regarde de travers, nous narguant avec son lipstick rouge et son sac Dior qui vole au vent. Je me suis alors souvenu qu'effectivement, Dior avait fait un petit reboot de sa gamme mythique de rouges à lèvres. Par pure conscience professionnelle (ha ha !), j'ai voulu aller voir cela de plus près en boutique.
Et forcément, j'ai succombé. J'ai commencé par swatcher les 32 nuances des Rouge Dior (bon pas toutes-toutes en vrai hein !), une par une, sur mon bras (sous l’œil effaré de la vendeuse - dans mon bled, ce genre de comportement ne doit pas être fréquent apparemment), recherchant - une fois encore, un joli rose. Le rose parfait (le fameux, celui dont je te rebats les oreilles - enfin les yeux, depuis des mois). Et je t'annonce aujourd'hui que je pense bel et bien l'avoir trouvé. Oui ! Hallelujah ! Il s'agit du magnifique Rouge Dior 671 Deauville. Une merveille de perfection.
C'est l'histoire d'une fille qui, un jour, s'est réveillée avec la peau ultra-sèche, des plaques rouges sur les joues, des petits boutons qui grattent partout et l'épiderme échauffé et complètement gonflé. Cette fille, blogueuse beauté de son état, s'est dit que c'était son tour et qu'elle allait aussi y avoir droit, à l'allergie aux cosmétiques. Non parce qu'elle se disait bien qu'à force d'utiliser une multitude de produits sur son visage, elle allait faire une connerie. Persuadée de son diagnostic (elle n'en voyait pas d'autre), elle a commencé à chercher le coupable dans sa routine de soins et à devenir totalement parano avec les compos.
Pendant 1 an, la nana n'a pas su sur quel pied danser. Elle est passée par différents stades émotionnels : la douleur (au 1er sens du terme), la déprime (se trouver moche et ne plus pouvoir se maquiller comme avant, c'est dur), la peur (en découvrant les résultats de sa prise de sang), le questionnement et l'attente. Longue l'attente. Parce que pour avoir un rendez-vous chez un dermato dans ce pays, c'est un peu la croix et la bannière. Et puis pendant ce temps-là, y a matière à tergiverser (et à bader). Si c'est bel et bien une allergie aux cosmétiques, la fille se dit que c'en est fini de son blog... et que ça craint du boudin.
Le jour des tests d'allergie est enfin arrivé. Ça fout un peu les boules de mettre les pieds à l'hosto pour ça. La fille se retrouve avec une 60aine de patchs collés dans le dos pour tester une 60aine de molécules potentiellement allergènes. 3 jours plus tard, c'est la lecture. Bilan des courses : aucune réaction. Youpi !!! Oui mais alors, pourquoi ? Pourquoi cette peau toute rouge ? Cette sécheresse insupportable ? Ces boutons ? Cette sensibilité ? Le dermato a sa réponse. 7 lettres : rosacée.
Voilà maintenant près d'1 an que je me traîne cette maladie qui a - n'ayons pas peur des mots - bouleversé ma vie de beauty addict (car oui, t'as bien compris que la nana en question, c'est moi). J'arrive désormais à vivre avec, grâce à une routine de soins bien étudiée et des produits triés sur le volet.
Pendant 1 an, la nana n'a pas su sur quel pied danser. Elle est passée par différents stades émotionnels : la douleur (au 1er sens du terme), la déprime (se trouver moche et ne plus pouvoir se maquiller comme avant, c'est dur), la peur (en découvrant les résultats de sa prise de sang), le questionnement et l'attente. Longue l'attente. Parce que pour avoir un rendez-vous chez un dermato dans ce pays, c'est un peu la croix et la bannière. Et puis pendant ce temps-là, y a matière à tergiverser (et à bader). Si c'est bel et bien une allergie aux cosmétiques, la fille se dit que c'en est fini de son blog... et que ça craint du boudin.
Le jour des tests d'allergie est enfin arrivé. Ça fout un peu les boules de mettre les pieds à l'hosto pour ça. La fille se retrouve avec une 60aine de patchs collés dans le dos pour tester une 60aine de molécules potentiellement allergènes. 3 jours plus tard, c'est la lecture. Bilan des courses : aucune réaction. Youpi !!! Oui mais alors, pourquoi ? Pourquoi cette peau toute rouge ? Cette sécheresse insupportable ? Ces boutons ? Cette sensibilité ? Le dermato a sa réponse. 7 lettres : rosacée.
Voilà maintenant près d'1 an que je me traîne cette maladie qui a - n'ayons pas peur des mots - bouleversé ma vie de beauty addict (car oui, t'as bien compris que la nana en question, c'est moi). J'arrive désormais à vivre avec, grâce à une routine de soins bien étudiée et des produits triés sur le volet.
Je ne sais pas ce qu'il m'arrive en cette fin d'année 2013. J'ai comme l'impression de faire une 2ème crise d'adolescence (boutons inclus, sinon ça aurait été moins drôle) parce que j'ai des envies totalement incohérentes (me colorer les cheveux en violet ou me faire refaire mon piercing du nez, pour situer la chose) et une dégaine dignes d'une gamine de 16 ans (en tout cas, celle que j'étais). A moi les fringues noires, les jeans cloutés et les boots à boucles. Non, je ne m'apprête pourtant pas à tourner dans un vieux clip des Clash mais voilà, c'est ça que je kiffe en ce moment.
Et j'ai envie de dire, encore heureux que Monsieur BG se soit débarrassé de son ampli Marshall et de sa BC Rich, sinon, on n'aurait pas été à l'abri que je me mette à faire du "air guitar" au milieu du salon sur un bon vieux morceau de Static-X (sous le regard effaré de Dexter). Bref, je suis en mode rébellion fuck la société et la couleur n'a clairement pas droit de cité ces temps-ci. Ou en tout cas, pas sur mes ongles. Je suis en train de me concocter une petite collection de vernis faux-noirs (comme j'aime à les appeler), tu m'en diras des nouvelles (ou pas).
Et puis c'est bien connu, l'adolescence, c'est la période des premières fois. Le goût du risque, de l'interdit, les sensations fortes, tout ça tout ça... Et bien en voici une de première fois : je viens d'acheter mon tout 1er vernis à ongles Rimmel. C'est pas dingue de dingue ça ? Hein ? (ok ok, en vrai je commence à me faire vieille mais chut, je suis en plein déni et un rien m'émoustille). J'ai en effet craqué pour le Vernis Salon Pro 361 Acid House issu de la collection Kate et, comme je ne fais clairement pas dans la demi-mesure en ce moment, j'ai envie de dire que c'est un énooooooooorme coup de cœur (oui, au moins).
Ahhhhh la Naked 3 ! Il vaut mieux que je te prévienne tout de suite, de la fameuse palette fantasmatique d'Urban Decay, tu risques d'en entendre parler à tout-va sur la blogosphère. Et c'est bien là le truc de dingue. Cette nouvelle palette n'est pas encore sortie qu'elle fait déjà un buzz monumental. Bon, dans les faits, ce n'est pas tout à fait ça. Disons que la Naked 3 (successeur de la célébrissime Naked 1 et de la "on ne change pas une équipe qui rapporte gagne" Naked 2 Urban Decay) est sortie chez Sephora l'espace d'une journée, en freestyle, sans prévenir personne, dans 2-3 Sephora parisiens, pour mieux repartir en loucedé dans les cagibis de la parfumerie. C'est que du côté de chez Urban Decay, ça a du ronfler un max.
Ben oui, c'est pas bien de mettre en rayon une palette 1 mois (voire 2 ?) avant sa date de sortie officielle. Et c'est encore moins bien de mettre en rayon une palette qui, à la base, était restée secrète pour faire une jolie surprise de Noël aux fans de la 1ère heure de la Naked. Alors moi, de mon côté, je regarde ça avec un air... dubitatif. J'avoue, je ne possède ni la Naked 1, ni la Naked 2, et je n'ai pas toujours compris pourquoi on faisait tout un foin de ces palettes de fards. Par contre, je possède la Vice 1 qui, effectivement, n'est pas mal du tout.
Du coup, avec la sortie foirée anticipée de la Naked 3, je me suis penchée sur la chose et, je le confesse, j'ai été une des 1ères à être tentée par la number three. Un appel chez Sepho pour savoir ce qu'il en est, et voilà qu'on m'envoie bouler en m'affirmant mordicus que la Naked 3 n'existe pas. En gros, c'est l'omerta. Mais moi, les palettes de fards neutres, j'aime bien ça. Alors en attendant que Sepho et Urban Decay arrêtent leur cirque (bon sang, on parle quand-même d'une palette de maquillage les gars, youhou !), je t'ai concocté une petite sélection de palettes qui : au pire te feront patienter (la sortie de la Naked 3 aurait été prévue pour le 16 décembre mais elle pourrait être avancée - info à prendre au méga-conditionnel) et au mieux te feront l'oublier.
Les collections maquillage Noël 2013 (#1) : Dior
9 nov. 2013
Tu le sens toi ? Ce petit parfum de "on n'est qu'au mois de novembre mais on commence quand-même déjà à songer à sa liste de cadeaux de Noël" ? Moi en tout cas, je me mets doucement mais sûrement en mode Noël et ma wish list destinée au Monsieur habillé en rouge est déjà aussi longue que mon bras (je me demande à quoi elle ressemblera début décembre). Penser aux fêtes me met du baume au cœur et l'arrivée des collections maquillage de Noël dans les parfumeries a le don de me réjouir. Ça me donne envie de sortir le sapin de Noël de la cave (oui, je sais, il est encore trop tôt ! Grrrr...), de passer des commandes Yankee Candle à tour de bras (c'est bien la 1ère fois que des bougies parfumées me rendent marteau) et d'acheter mon calendrier de l'avent en attendant bien sagement le 1er décembre pour dégommer la 1ère fenêtre.
Je pense donc qu'il est grand temps de te présenter ces fameuses Holiday Collections comme on les appelle. Elles ne sont pas encore toutes arrivées dans les boutiques (pour le moment je n'ai vu que celle de chez Guerlain et ça envoie sacrément du lourd) mais cela ne saurait tarder à mon avis. Pour ce billet #1, je te propose de commencer notre petit tour d'horizon avec Dior et sa sublime collection intitulée Golden Winter. C'est celle que j'ai découverte en 1er et... comment dire... il y a matière à craquer son slip.
Inspirée des lumières de Versailles (sic), les dorures sont logiquement à l'honneur au travers de ces nouvelles créations toutes plus désirables les unes que les autres. Le teint, les lèvres, le regard et les ongles sont à l'honneur. Il y en a donc pour tous les goûts, si tant est qu'on aime l'opulence du rouge, la chaleur de l'or et les rose nacrés. Ça brille, ça scintille, c'est lumineux. Bref, ça en met plein les yeux. Voici les nouveautés en images.
Quand on ne roule pas sur l'or et/ou qu'on ose pas investir toutes ses économies dans un fard à paupières ou un rouge à lèvres par peur qu'il ne finisse finalement au fond d'un tiroir pour y moisir toute sa vie, l'une des solutions qui s'offrent à nous (outre le supermarché on est d'accord ; et outre le fait de ne rien acheter du tout, ce que je devrais faire plus souvent tiens !) c'est de se tourner vers les gammes de maquillage des parfumeries. D'aussi loin que je m'en souvienne, mon premier rouge à lèvres coup de cœur (celui qui a lancé ma collection faramineuse) était un Sephora. Il n'existe sûrement plus, mais ce que j'ai pu le porter ! Un rose pâle et brillant, hyper confortable qui, je trouvais, mettait bien mes yeux bleus en valeur.
Ce que je veux dire par là, c'est que peu importe la marque, le prix, les préjugés (non, ce ne sont pas les paroles d'une chanson de Shy'm... mais ça y ressemble), on peut tout à fait trouver son bonheur là où on ne s'y attend pas (forcément). Il est très tentant, dès que l'on foule les terres sephoriennes, marrionnaudes, nocibéennes ou beauty successites, de se diriger d'un pas assuré vers les corners des marques de luxe (Dior, Chanel, Yves Saint Laurent, j'en passe et des meilleures), mais - et c'est ce que je fais de plus en plus, il est aussi et parfois très intéressant de jeter un œil (voire même les 2) sur les produits estampillés du nom de la parfumerie en question.
D'autant plus que, je ne sais pas si tu l'as remarqué, ces parfumeries ont toutes (plus ou moins récemment) revu et corrigé leur gamme de maquillage pour les rendre plus attrayantes. Je suis loin d'avoir tout vu et tout testé. Mais voici quelques-uns de ces produits qui, selon moi, valent le détour.
Ce que je veux dire par là, c'est que peu importe la marque, le prix, les préjugés (non, ce ne sont pas les paroles d'une chanson de Shy'm... mais ça y ressemble), on peut tout à fait trouver son bonheur là où on ne s'y attend pas (forcément). Il est très tentant, dès que l'on foule les terres sephoriennes, marrionnaudes, nocibéennes ou beauty successites, de se diriger d'un pas assuré vers les corners des marques de luxe (Dior, Chanel, Yves Saint Laurent, j'en passe et des meilleures), mais - et c'est ce que je fais de plus en plus, il est aussi et parfois très intéressant de jeter un œil (voire même les 2) sur les produits estampillés du nom de la parfumerie en question.
D'autant plus que, je ne sais pas si tu l'as remarqué, ces parfumeries ont toutes (plus ou moins récemment) revu et corrigé leur gamme de maquillage pour les rendre plus attrayantes. Je suis loin d'avoir tout vu et tout testé. Mais voici quelques-uns de ces produits qui, selon moi, valent le détour.
Jolis sourcils : mon évolution, ma routine
7 nov. 2013
Au départ, je voulais intituler cet article "Gimme Gimme brow" - hommage ou mauvais jeu de mots en référence à "Gimme More" de Britney Spears, mais je me suis dit que : de 1° C'était trompeur, puisque je ne vais pas du tout parler du nouveau produit Gimme Brow de Benefit (sur ma wishlist) ; de 2° Britney Spears aurait-t-elle vraiment sa place sur ce blog ? Pas sûr... Bref, tu l'auras compris (enfin j'espère), je vais te causer sourcils. Aaaaahhhh les sourcils ! En voilà un sujet passionnant. Bon, pas vraiment au 1er abord et je trouve cela bien dommage, car l'épilation et le maquillage des sourcils est, à mes yeux, aussi important et casse-gueule que le choix de son orientation en fin de Seconde (si tu détestes les maths, ne fais pas comme moi et ne t'inflige pas un Bac S) ou le fait d'adopter (ou non) ce mignon petit chaton qui chouine toutes les nuits devant ta porte (mais qui va te ruiner ton canapé Karlståd Ikéa).
A l'aube de mes 28 ans (et paf! dans moins d'1 mois je me rapproche encore davantage de la 30aine), si j'ai bien compris un truc, c'est que les sourcils ultra-épilés, ce n'est pas pour moi, et c'est même à bannir. Le problème, et tu me rejoindras sur ce point si toi aussi tu es née dans les années 80, c'est que la mode en 1997, c'était le sourcil Pamela Anderson : ultra-fin et arqué. Alors quand j'ai eu 12 ans, je me suis jetée sur la 1ère pince à épiler venue et je me suis fait un malin plaisir à ôter tous ces poils qui, à l'époque, me foutaient un peu la honte par rapport aux copines. Sauf que voilà. J'ai épilé, épilé, épilé, des années durant, sans jamais véritablement me soucier de la nature, de la forme et de l'implantation naturelle de mes sourcils.
J'ai pris conscience de l'ampleur des dégâts il n'y a pas si longtemps que ça, quand j'ai commencé à bloguer ici (il y a plus de 2 ans donc). Quand on blogue, on se prend en photo (beaucoup même) et on en vient à se regarder différemment (et à se trouver plein de défauts physiques - "J'aurais pas le nez tordu ? Pourquoi j'ai un œil plus petit que l'autre ?" etc). J'ai alors réalisé que mes sourcils étaient vraiment moches et mal épilés. J'ai pris peur. Peur qu'à cause de ma vieillerie grandissante, mes poils ne repoussent plus et que je ne puisse donc pas rattraper le bazar. Heureusement, il n'était pas trop tard et j'ai réussi à ravoir des sourcils bien fournis mais maîtrisés, ce qui est beaucoup plus flatteur pour le regard.
A l'aube de mes 28 ans (et paf! dans moins d'1 mois je me rapproche encore davantage de la 30aine), si j'ai bien compris un truc, c'est que les sourcils ultra-épilés, ce n'est pas pour moi, et c'est même à bannir. Le problème, et tu me rejoindras sur ce point si toi aussi tu es née dans les années 80, c'est que la mode en 1997, c'était le sourcil Pamela Anderson : ultra-fin et arqué. Alors quand j'ai eu 12 ans, je me suis jetée sur la 1ère pince à épiler venue et je me suis fait un malin plaisir à ôter tous ces poils qui, à l'époque, me foutaient un peu la honte par rapport aux copines. Sauf que voilà. J'ai épilé, épilé, épilé, des années durant, sans jamais véritablement me soucier de la nature, de la forme et de l'implantation naturelle de mes sourcils.
J'ai pris conscience de l'ampleur des dégâts il n'y a pas si longtemps que ça, quand j'ai commencé à bloguer ici (il y a plus de 2 ans donc). Quand on blogue, on se prend en photo (beaucoup même) et on en vient à se regarder différemment (et à se trouver plein de défauts physiques - "J'aurais pas le nez tordu ? Pourquoi j'ai un œil plus petit que l'autre ?" etc). J'ai alors réalisé que mes sourcils étaient vraiment moches et mal épilés. J'ai pris peur. Peur qu'à cause de ma vieillerie grandissante, mes poils ne repoussent plus et que je ne puisse donc pas rattraper le bazar. Heureusement, il n'était pas trop tard et j'ai réussi à ravoir des sourcils bien fournis mais maîtrisés, ce qui est beaucoup plus flatteur pour le regard.
Gravity
5 nov. 2013
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, faire des "pauses blog", ça ne fait clairement pas du bien au porte-monnaie. Avec le mariage en septembre dernier, j'ai eu bien du mal à me tenir informée de l'arrivée des collections maquillage de cet automne. Alors dès que je mettais un pied dans une parfumerie, c'était l'orgie l'émerveillement à tous les corners : Dior, Chanel, Guerlain, Yves Saint Laurent... Toutes ces nouveautés que je n'avais pas vu venir 2 mois avant sur internet m'en mettaient plein les yeux. Aussi, j'avais cette vilaine impression d'être complètement larguée et inconsciemment, j'ai du vouloir compenser en achetant sans tergiverser 3 plombes comme je le fais d'habitude. Ça m'a été fatal.
Moi qui pensais que les nouveautés automnales, ce serait sans moi cette année, et bien je me suis fourré le doigt dans l’œil. J'ai embarqué quelques jolies éditions limitées Guerlain (vues dans ce billet) ainsi qu'une nouvelle Laque Couture Yves Saint Laurent (dévoilée dans cet article), mais pas que (au grand désespoir de Monsieur BG). Comme je te l'avais dit ici, la Palette 5 Couleurs Constellation de Dior me tentait énormément depuis sa sortie. J'ai finalement cédé à la tentation par peur que cette beauté étoilée ne disparaisse à tout jamais dans le cosmos avec le reste de la collection Mystic Metallics (telle une Sandra Bullock dans "Gravity").
Et comme je n'ai jamais trop de rouges à lèves et que je suis à fond dans ma période découverte de Chanel (il m'en aura fallu du temps pour m'y mettre), j'ai commis l'irréparable : un achat non prémédité. Après avoir swatché je ne sais combien de lipsticks dans la boutique, mon cœur a finalement flanché pour le tout nude Rouge Coco Shine 86 Instinct, une nouveauté de cet automne également. Des étoiles plein les yeux. Littéralement.
Magie noire avec la Laque Couture Sépia 7è Art
4 nov. 2013
L'autre jour, alors que j'étais en train de zapper parmi les 375 chaînes disponibles chez Free (je crois que plus on en a et moins il y a de choses intéressantes à regarder), je suis tombée par hasard sur "La Belle et la Bête". Non, pas la version "C'eeeeeest... laaaaaa... fête ! C'est la fête ! Service garanti impec'. Mettez votre petite bavette, chérie et nous on veille au reste" (je sais que tu vas me maudire pour t'avoir mis cette chanson dans la tête, hé hé !) de Disney (l'un de mes favoris avec "La Petite Sirène" soit dit en passant). Mais le film "La Belle et la Bête" de Cocteau qui date de 1946.
La 1ère fois que je l'ai vu à la télé, je devais avoir 13 ou 14 ans et je ne saurais expliquer pourquoi, ce film m'a marqué, tant au niveau de l'histoire, que sur le plan esthétique. Je n'accroche pas forcément aux films en noir et blanc mais je me souviens m'être dit que pour l'époque, Cocteau avait admirablement su créer une ambiance atypique d'une beauté dérangeante et d'une noirceur étonnante, surtout dans les scènes tournées dans le décor gothique du château enchanté de la Bête (avec les "bras chandeliers" et les cariatides vivants). Sans parler de la symbolique du film, opposant le rêve à la réalité, la beauté d'âme à la laideur physique (et vice versa).
En général, c'est en regardant ce genre de films poétiques que je me dis que le cinéma mérite véritablement son qualificatif de 7ème art. Et j'en connais une autre qui porte aussi très bien ce nom : la Laque Couture n°40 signée Yves Saint Laurent, ayant pour joli dénomination Sépia 7è Art. Parce que oui, cette année, je remets ça avec ma folie des vernis foncés presque noirs mais pas noirs. Le Sépia 7è Art, édition limitée de cet automne, fait cela à la perfection et c'est tout simplement mon chouchou du moment.
Ça y est, j'annonce. Maintenant que nous avons mis les pieds dans le mois de novembre, je suis psychologiquement en mode Noël (eh oui, déjà !). Faut dire que je n'attends plus rien d'autre que les Fêtes lorsque la fin de l'année arrive. Plus vite on y sera, et meilleur mon moral sera (je déteste l'automne mais dieu merci, le mois d'octobre déprimant est bel et bien derrière nous). Paradoxalement, j'adore les collections de maquillage automnales et c'est bien là la seule chose que j'aime pour cette saison. Mais je t'avoue que là, tout de suite maintenant, je ne suis pas mécontente de voir apparaître les collections de Noël.
Car oui, elles commencent peu à peu à pointer le bout de leur nez un peu partout sur le net, et ne vont pas tarder à se taper l'incruste dans nos boutiques préférées courant novembre. Même si je ne suis pas encore totalement à l'affût, j'ai cette fois-ci (et contrairement à cet été où j'ai été complètement larguée niveau nouveautés de la rentrée à cause du mariage) fait un petit repérage. Loin de moi l'envie de tout te dévoiler tout de suite (il faut garder un minimum de surprises) mais je me suis dit que te donner un petit aperçu de quelques-unes des collections de Noël à venir serait une bonne idée avant de me lancer dans les présentations détaillées.
Et puis il n'est jamais trop tôt pour commencer sa liste de cadeaux. J'avoue avoir déjà quelques coups de cœur. D'autres choses me laissent davantage de marbre. Trop de paillette dorée tue la paillette dorée et en général, les Holiday Collections (comme on les appelle) en sont saturées, ce qui n'est pas forcément mon kiff. Fort heureusement, cette année, il y a plein d'autres jolies choses. Voici de quoi te mettre l'eau à la bouche...
Car oui, elles commencent peu à peu à pointer le bout de leur nez un peu partout sur le net, et ne vont pas tarder à se taper l'incruste dans nos boutiques préférées courant novembre. Même si je ne suis pas encore totalement à l'affût, j'ai cette fois-ci (et contrairement à cet été où j'ai été complètement larguée niveau nouveautés de la rentrée à cause du mariage) fait un petit repérage. Loin de moi l'envie de tout te dévoiler tout de suite (il faut garder un minimum de surprises) mais je me suis dit que te donner un petit aperçu de quelques-unes des collections de Noël à venir serait une bonne idée avant de me lancer dans les présentations détaillées.
Et puis il n'est jamais trop tôt pour commencer sa liste de cadeaux. J'avoue avoir déjà quelques coups de cœur. D'autres choses me laissent davantage de marbre. Trop de paillette dorée tue la paillette dorée et en général, les Holiday Collections (comme on les appelle) en sont saturées, ce qui n'est pas forcément mon kiff. Fort heureusement, cette année, il y a plein d'autres jolies choses. Voici de quoi te mettre l'eau à la bouche...
7 bidules qui changent la vie
1 nov. 2013
Ah ça, des trucs machins choses bidules chouettes, on en a toutes plein nos placards. Faut dire qu'une fois qu'on a dévalisé les rayons de nos parfumeries et boutiques préférées (au choix Sephora, Marionnaud, Kiko, H&M), le coup de grâce nous attend souvent à côté des caisses avec les fameux bacs et autres présentoirs d'accessoires qui nous lorgnent l'air de dire : "Prends-nous, on ne coûte pas (trop) cher et il paraît qu'on est super utiles en plus." Tu te reconnais toi, la fille qui achète un lot de 10 élastiques à cheveux comme si t'en avais pas assez dans ta salle de bain. Ou toi, la nana qui a follement envie de ce petit miroir de sac ou encore de ce pinceau à poudre rétractable parce que n'empêche, c'est hyper pratique.
Il y a pas mal d'accessoires de ce genre que j'avais l'habitude de ranger dans la catégorie gadgets et compagnie qui ne servent à rien. Le genre de trucs inutiles qu'on achète et qu'on laisse à l'abandon dans un vieux tiroir, entre un vieux chouchou rescapé des années 90 et une palette de fards cheapos reçue en cadeau avec une énième commande chez Les 3 Suisses. Sauf que dans tout ce bazar, je dois bien reconnaître qu'il y a malgré tout quelques bidules qui valent le coup, et certains ont même changé ma vie de beauty addict (oui, rien que ça).
Voici 7 bidules (des chers, des moins chers, voire des gratuits) qui, au 1er coup d'oeil, m'ont paru superflus mais dont je ne saurais plus me passer aujourd'hui.
Il y a pas mal d'accessoires de ce genre que j'avais l'habitude de ranger dans la catégorie gadgets et compagnie qui ne servent à rien. Le genre de trucs inutiles qu'on achète et qu'on laisse à l'abandon dans un vieux tiroir, entre un vieux chouchou rescapé des années 90 et une palette de fards cheapos reçue en cadeau avec une énième commande chez Les 3 Suisses. Sauf que dans tout ce bazar, je dois bien reconnaître qu'il y a malgré tout quelques bidules qui valent le coup, et certains ont même changé ma vie de beauty addict (oui, rien que ça).
Voici 7 bidules (des chers, des moins chers, voire des gratuits) qui, au 1er coup d'oeil, m'ont paru superflus mais dont je ne saurais plus me passer aujourd'hui.
Don't worry, b.Glossy !
31 oct. 2013
Je fais résolument partie de ces filles relou qui ont tendance à s'auto-psychanalyser et à avoir la fâcheuse habitude de faire de la psychologie de comptoir à 2 balles, au grand désarroi de Monsieur BG (oui, je suis de celles qui racontent de la merde - "Ça, c'est parce que Micheline a vraiment un problème avec son surmoi, j'en suis certaine Doudou.", et qui se disent qu'elles ont raté leur vocation en Psycho, Sigmund Freud étant leur sujet de philo favori en Terminale - 18 au Bac, ça ne s'invente pas).
Du coup, tout à l'heure, alors que j'étais en train de me préparer à la va-vite pour une virée chez Ikea (ce début d'article est décidément passionnant), je me suis posé mille questions (non, plutôt 1 en fait) sur la raison de cette monstrueuse accumulation de rouges à lèvres (et cette façon étrange que j'ai de les idolâtrer). Parce que ouais, là je le reconnais, ça devient vraiment grave (et ça commence à me faire peur). J'ai donc été faire quelques petites recherches à ce sujet (ça me turlupine vraiment c't'histoire !) et selon le ProfesseurLayton Tsuneyuki Abe, le rouge à lèvres, symbole de l'existence d'un instinct de survie, (re)donnerait estime et courage aux femmes.
Loin de moi l'envie de descendre en flèche l'étude de ce prof de psycho (et bien que j'ai, il est vrai, parfois tendance à me mésestimer), j'ai surtout envie de lui dire que personnellement, si j'ai aussi souvent recours au rouge à lèvres, c'est essentiellement parce que je suis une flemmarde invétérée. Bah oui, y a pas mieux pour paraître apprêtée en 2 temps 3 mouvements que du mascara et un bon rouge à lèvres qui claque (et du fond de teint, mais ça c'est une autre histoire). Du coup, du rouge à lèvres j'en consomme. Et de toutes les couleurs (haro sur la monotonie !). Pour aller à Ikea (alors que j'avais bien 45 minutes de retard), cela n'a pas loupé : j'ai fait le strict minimum et ai gentiment appliqué le tout nouveau Brillant b.Glossy! d'Agnès b. sur mes lèvres. Instant de jubilation intense (l'est beauuuu !!) et aucune surchauffe au niveau du ciboulot (mais à quoi me servent toutes ces palettes de fards ?). Simple et efficace. Voici mon avis sur cette jolie nouveauté des Créateurs de Beauté (car c'est bien là que je voulais en venir au bout du compte).
Du coup, tout à l'heure, alors que j'étais en train de me préparer à la va-vite pour une virée chez Ikea (ce début d'article est décidément passionnant), je me suis posé mille questions (non, plutôt 1 en fait) sur la raison de cette monstrueuse accumulation de rouges à lèvres (et cette façon étrange que j'ai de les idolâtrer). Parce que ouais, là je le reconnais, ça devient vraiment grave (et ça commence à me faire peur). J'ai donc été faire quelques petites recherches à ce sujet (ça me turlupine vraiment c't'histoire !) et selon le Professeur
Loin de moi l'envie de descendre en flèche l'étude de ce prof de psycho (et bien que j'ai, il est vrai, parfois tendance à me mésestimer), j'ai surtout envie de lui dire que personnellement, si j'ai aussi souvent recours au rouge à lèvres, c'est essentiellement parce que je suis une flemmarde invétérée. Bah oui, y a pas mieux pour paraître apprêtée en 2 temps 3 mouvements que du mascara et un bon rouge à lèvres qui claque (et du fond de teint, mais ça c'est une autre histoire). Du coup, du rouge à lèvres j'en consomme. Et de toutes les couleurs (haro sur la monotonie !). Pour aller à Ikea (alors que j'avais bien 45 minutes de retard), cela n'a pas loupé : j'ai fait le strict minimum et ai gentiment appliqué le tout nouveau Brillant b.Glossy! d'Agnès b. sur mes lèvres. Instant de jubilation intense (l'est beauuuu !!) et aucune surchauffe au niveau du ciboulot (mais à quoi me servent toutes ces palettes de fards ?). Simple et efficace. Voici mon avis sur cette jolie nouveauté des Créateurs de Beauté (car c'est bien là que je voulais en venir au bout du compte).
Tout à l'heure, alors que je m'apprêtais à commettre un énième carnage chez Marionnaud et que j'attendais que la vendeuse vienne m'ouvrir son fameux tiroir Dior (qui me met des paillettes plein les yeux quand je vois toutes ces boîtes bleues bien rangées à l'intérieur), je n'ai pas pu m'empêcher de laisser traîner mon oreille pour écouter une conversation entre une cliente et une autre vendeuse (la curiosité est un vilain défaut, paaaas biiieen !). La 1ère cherchait un fond de teint, la 2ème lui a affirmé mordicus qu'un fond de teint ne s'appliquait pas sans poudre et que la poudre ne s'appliquait pas sans fond de teint. Je ne sais pas si cela est bien vrai.
Toujours est-il que j'ai beau m'être mise au fond de teint fluide depuis une 10aine d'années, de la poudre matifiante (parce que c'est d'elle dont il s'agit aujourd'hui), ça ne fait pas énormément de temps que j'en applique par-dessus. Disons que j'en ai véritablement ressenti le besoin cet été, quand les 30° ambiants + mon complément alimentaire à base de zinc + mon fond de teint pour peau compliquée se sont alliés pour me transformer en Madame Sébum ambulante.
Je me suis donc jetée sur la 1ère poudre matifiante venue au supermarché (bon, j'en avais lu et entendu beaucoup de bien chez Mon Blog de Fille, j'avoue) : la Stay Matte Poudre Compacte Matifiante de Rimmel. Eh bien ce machin à petit prix m'a littéralement sauvé la vie (ah oui, au moins !) pendant toute la saison estivale. Sauf qu'aujourd'hui, avec le retour du chauffage, l'air plus frais et la fin de mon traitement dermato, ma peau ne sait plus sur quel pied danser : tantôt elle brille, tantôt elle est sèche comme du papier de verre. J'en suis donc venue à utiliser une poudre plus légère : la Poudre Frivole Beauty Secrets de L'Oréal. Je pense qu'une petite revue comparée des deux s'impose.
Toujours est-il que j'ai beau m'être mise au fond de teint fluide depuis une 10aine d'années, de la poudre matifiante (parce que c'est d'elle dont il s'agit aujourd'hui), ça ne fait pas énormément de temps que j'en applique par-dessus. Disons que j'en ai véritablement ressenti le besoin cet été, quand les 30° ambiants + mon complément alimentaire à base de zinc + mon fond de teint pour peau compliquée se sont alliés pour me transformer en Madame Sébum ambulante.
Je me suis donc jetée sur la 1ère poudre matifiante venue au supermarché (bon, j'en avais lu et entendu beaucoup de bien chez Mon Blog de Fille, j'avoue) : la Stay Matte Poudre Compacte Matifiante de Rimmel. Eh bien ce machin à petit prix m'a littéralement sauvé la vie (ah oui, au moins !) pendant toute la saison estivale. Sauf qu'aujourd'hui, avec le retour du chauffage, l'air plus frais et la fin de mon traitement dermato, ma peau ne sait plus sur quel pied danser : tantôt elle brille, tantôt elle est sèche comme du papier de verre. J'en suis donc venue à utiliser une poudre plus légère : la Poudre Frivole Beauty Secrets de L'Oréal. Je pense qu'une petite revue comparée des deux s'impose.
Appelez-moi Madame ! Chapitre 2
28 oct. 2013
Durant les 12 mois qui ont précédé mon mariage, je me suis souvent demandé dans quel état j'allais être le matin de mon jour J. Disons que je suis plutôt de nature à stresser pour n'importe-quoi ("Comment ça, le plombier passe demain à 8 heures ?!! Gla gla !" dents qui claquent et tout le tintouin), alors pour le jour de mon mariage, je me suis imaginé le pire. J'en ai même fait des cauchemars (arrivée à l'église en chaussons, rendez-vous chez le coiffeur loupé pour cause de réveil qui n'a pas sonné) qui, lorsque je me réveillais, me donnaient un profond sentiment de soulagement : "Aaah ouf, ce n'est pas aujourd'hui que je me marie !" (même pas honte).
A mon grand étonnement, lorsque le réveil a sonné à 9 heures ce fameux matin, j'étais bien. Sans doute un peu dans le gaz à cause de mon petit truc magique pour me faire dormir, mais quand-même. Oui, j'avais bien un nœud à l'estomac mais rien de paralysant. Je me suis levée comme si de rien n'était, j'ai fait un câlin à Dexter qui dormait comme une larve au bout de mon lit vide (dingue comme cette boule de poils peut m'apaiser - sauf quand ce put*** de chat fait ses put*** de griffes sur le canapé quand je tente d'écrire un article, grrrrr !!) et me suis dirigée vers la salle de bain pour me préparer un minimum avant de me rendre chez le coiffeur (oui, ôter mon pyjama et me brosser les dents, c'était mon minimum ce matin là).
Dans mes cauchemars les plus réalistes fous, je m'imaginais dégobiller mon p'tit déj' (façon lait qui coule le long de mon menton et Choco Pops coincés entre les dents et dans les trous de nez - blurp !), chouiner le cul assis sur le rebord de ma baignoire ("Veux pas y alleeeeeer ! J'ai peeuuuuur !") et cernes me dégoulinant jusqu'aux naseaux. Ben non, rien de tout ça. C'est le cœur léger et étonnement de bonne humeur (car il faut savoir que je suis rarement de bonne humeur avant... 14h30) que je me suis mise en route pour le coiffeur, 1ère étape de cette journée marathon inoubliable.
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