Cette question peut te paraître idiote (d'ailleurs, elle me paraît idiote à moi-même) mais je pense qu'il est grand temps de savoir quelle est la vraie différence entre un shampoing et un après-shampoing.
Parce-que la différence "de base" on la connaît. Le shampoing c'est le produit qu'on utilise pour se laver les cheveux et l'après-shampoing c'est celui qu'on utilise après le shampoing (comme son nom l'indique). Sauf que voilà, depuis quelques mois, une nouvelle tendance capillaire vient de tout bousculer : le co-wash.
Qu'est-ce que le co-wash (oui, tu es en droit de me poser cette question) ? Co-wash signifie Conditionner Washing (lavage à l'après-shampoing en VF). Le principe est simple : exit le shampoing. Maintenant on se lave les cheveux avec de l'après-shampoing, rien qu'avec de l'après-shampoing. Oui ma bonne dame ! Pourquoi ? Parce-que les shampoings seraient trop agressifs pour nos cheveux alors que les après-shampoings en prendraient davantage soin.
Personnellement, cette nouvelle mode me perturbe. Je ne l'ai jamais testée (du moins, pas volontairement) mais je suis plutôt cartésienne. A chaque chose sa fonctionnalité. D'où ma question blonde du jour : quelle est la vraie différence entre un shampoing et un après-shampoing ? Peut-on les intervertir inopinément ? Après quelques recherches sur le web, voici des éléments de réponse.
- Le shampoing
Le but du shampoing est avant tout de laver, aussi bien le cheveu que le cuir chevelu, et de les débarrasser de plein de trucs dégueulasses : le gras, la pollution, les saletés, la poussière et les cellules mortes qui étouffent les racines et les longueurs.
Pour cela, le shampoing a une formule dont les composants sont relativement similaires à ceux que l'on trouve dans les savons, mais en version plus douce, pour ne pas altérer le film naturel de sébum qui protège la fibre capillaire.
Le shampoing contient des vitamines et des nutriments qui sont avant tout destinés à traiter le cuir chevelu et les racines. Son pH est acide, mais moins que celui de l'après-shampoing.
- L'après-shampoing
Le rôle de l'après-shampoing, quant à lui, n'est pas de laver, mais de jouer sur la texture du cheveu. Il permet de l'assouplir, de le rendre plus doux et donc plus facile à coiffer mais ne le nettoie pas.
Pour cela, sa formule est constituée de produits hydratants (qui aident au démêlage et au coiffage), de protéines (qui renforcent les longueurs) et de glossers (qui rendent le cheveu brillant).
L'après-shampoing contient lui aussi vitamines et nutriments qui sont, quant à eux, destinés à traiter les longueurs et les pointes afin d'éviter les cassures et les fourches. Le cuir chevelu et les racines ne sont en aucun cas traitées. Son pH est beaucoup plus acide que celui du shampoing afin de favoriser le développement d'acides aminés et de préserver la fonction protectrice de la kératine qui rend les cheveux brillants et en bonne santé.
Les choses sont donc plutôt claires. A chaque produit sa formule, sa cible, sa fonction.
Il m'est arrivé une fois de me tromper de flacon et de me tartiner la tête avec de l'après-shampoing ("Euh... C'est bizarre, pourquoi ça mousse pas ?") et c'est une expérience que je n'ai pas forcément envie de renouveler. 3 heures pour rincer, cheveux poisseux et collants...
Un peu comme si je n'avais fait tourner la machine à laver rien qu'avec de l'assouplissant ou de l'adoucissant, sans lessive. Ok, on peut préférer le gentil ourson Cajoline à la pouf tahitienne de Super Croix. Mais quand-même...
Normalement, écrire un billet sur mon blog, c'est censé être un moment de plaisir, un bonheur de tous les instants, plaisir d'offrir et joie de recevoir. Là, j'avoue que j'en ai gros sur la patate et que ce n'est pas de gaieté de coeur que j'écris cet article. D'une part parce-que mon ego vient d'en prendre un coup (suis-je un pigeon ?), d'autre part parce-que je commence à avoir un sacré mal de crâne à cause de cette histoire.
Tu l'auras compris en lisant le titre : j'ai commandé des vernis Opi sur internet, comme une âme en peine (parce-que débourser les 13,90 euros en magasin ça fait un peu mal). J'ai attendu l'équivalent de 3 semaines et demie pour recevoir mon colis, j'ai sauté de joie en le recevant et j'ai un peu déchanté en y regardant de plus près.
Je savais que pas mal de contrefaçons Opi tournaient (et c'est là le comble). Mais venant d'un site internet qui a l'air plutôt net (niveau paiement et communication), qui est archi-présent sur Google, je ne m'attendais pas à avoir des doutes sur l'authenticité de mes vernis. En gros, je n'arrive pas à savoir si mes Opi sont des vrais ou des faux.
Pourtant, il existe des indices qui permettent de reconnaître (en théorie) un vrai Opi d'un faux.
2 - La tige du pinceau Opi : sa tige est plate et transparente. En haut de celle-ci, près du bouchon, doit apparaître le mot "Opi" sérigraphié en relief et visible à l'oeil nu une fois la tige débarrassée du vernis.
3 - Les poils du pinceau Opi : les pinceaux de chez Opi sont très fournis et bien lisses afin de couvrir l'ongle rapidement. Si le pinceau est fin, c'est un faux. S'il a une forme étrange, c'est un faux aussi.
4 - Les inscriptions sur le flacon Opi : en général, sur ce point il est difficile de différencier un vrai d'un faux. Malgré tout, les plus mauvaises contrefaçons présentent des sigles (ceux du recyclage, de l'inflammabilité et de la conservation) plus petits que la normale.
5 - Le numéro de série Opi : chaque flacon Opi doit avoir un numéro de série (une suite de 8 chiffres et lettres) noir imprimé sur le bas du flacon en verre. Et si on regarde bien, un autre numéro de série quasi invisible à l'oeil nu doit apparaître en haut du flacon.
6 - La couleur de l'étiquette sous le vernis Opi : les éléments inscrits sur cette étiquette doivent être imprimés en vert. Souvent, les contrefaçons ont des étiquettes imprimées en noir.
7 - Le contenu de l'étiquette sous le vernis Opi : c'est là que ça part en live. Dans sa version la plus récente et française (en tout cas), un vrai vernis Opi doit avoir une étiquette où il est inscrit : le nom du vernis, un n° NL, un numéro de série (suite de chiffres et de lettres) imprimé en noir, un code barre et la mention "Peel Here". Le tout imprimé en vert sur blanc.
Sauf que tout n'est pas si simple. Avant de piquer une grosse colère et de balancer son vernis à la poubelle, il faut savoir, d'une part, que le packaging des vrais vernis Opi a évolué au fil des ans.
Si bien que, par exemple, les anciennes collections présentaient des étiquettes imprimées en noir, dénuées de toutes les mentions actuelles. Le pinceau a lui aussi évolué au fil des collections, devenant plus large et couvrant. Il en va de même pour la présence des sigles, leur taille, le n° de série, etc...
Difficile de s'y retrouver là-dedans. Un très bon article fait d'ailleurs état de cette évolution sur le blog Absolutely Ainnir.
D'autre part, ce billet très intéressant nous apprend également qu'un numéro de série éraflé ou poli (afin de le faire disparaître du flacon) ne signifie pas forcément contrefaçon mais vente d'un vrai Opi par un vendeur non autorisé.
Enfin, certains affirment que la différence entre les étiquettes, sans ou avec code barre, n'est pas synonyme de contrefaçon mais précise simplement s'il s'agit d'un produit en importation directe ou d'un produit distribué localement.
Je savais que pas mal de contrefaçons Opi tournaient (et c'est là le comble). Mais venant d'un site internet qui a l'air plutôt net (niveau paiement et communication), qui est archi-présent sur Google, je ne m'attendais pas à avoir des doutes sur l'authenticité de mes vernis. En gros, je n'arrive pas à savoir si mes Opi sont des vrais ou des faux.
Pourtant, il existe des indices qui permettent de reconnaître (en théorie) un vrai Opi d'un faux.
- A quoi reconnaît-on un vrai vernis à ongles Opi, en théorie ?
En principe, différentes choses sont à contrôler pour voir si on a entre les mains un vrai vernis Opi ou une contrefaçon.
1 - Le bouchon Opi : le mot Opi doit apparaître en relief sur le haut du bouchon avec un poinçon au milieu du P.
2 - La tige du pinceau Opi : sa tige est plate et transparente. En haut de celle-ci, près du bouchon, doit apparaître le mot "Opi" sérigraphié en relief et visible à l'oeil nu une fois la tige débarrassée du vernis.
3 - Les poils du pinceau Opi : les pinceaux de chez Opi sont très fournis et bien lisses afin de couvrir l'ongle rapidement. Si le pinceau est fin, c'est un faux. S'il a une forme étrange, c'est un faux aussi.
4 - Les inscriptions sur le flacon Opi : en général, sur ce point il est difficile de différencier un vrai d'un faux. Malgré tout, les plus mauvaises contrefaçons présentent des sigles (ceux du recyclage, de l'inflammabilité et de la conservation) plus petits que la normale.
5 - Le numéro de série Opi : chaque flacon Opi doit avoir un numéro de série (une suite de 8 chiffres et lettres) noir imprimé sur le bas du flacon en verre. Et si on regarde bien, un autre numéro de série quasi invisible à l'oeil nu doit apparaître en haut du flacon.
6 - La couleur de l'étiquette sous le vernis Opi : les éléments inscrits sur cette étiquette doivent être imprimés en vert. Souvent, les contrefaçons ont des étiquettes imprimées en noir.
7 - Le contenu de l'étiquette sous le vernis Opi : c'est là que ça part en live. Dans sa version la plus récente et française (en tout cas), un vrai vernis Opi doit avoir une étiquette où il est inscrit : le nom du vernis, un n° NL, un numéro de série (suite de chiffres et de lettres) imprimé en noir, un code barre et la mention "Peel Here". Le tout imprimé en vert sur blanc.
Sauf que tout n'est pas si simple. Avant de piquer une grosse colère et de balancer son vernis à la poubelle, il faut savoir, d'une part, que le packaging des vrais vernis Opi a évolué au fil des ans.
Si bien que, par exemple, les anciennes collections présentaient des étiquettes imprimées en noir, dénuées de toutes les mentions actuelles. Le pinceau a lui aussi évolué au fil des collections, devenant plus large et couvrant. Il en va de même pour la présence des sigles, leur taille, le n° de série, etc...
Difficile de s'y retrouver là-dedans. Un très bon article fait d'ailleurs état de cette évolution sur le blog Absolutely Ainnir.
D'autre part, ce billet très intéressant nous apprend également qu'un numéro de série éraflé ou poli (afin de le faire disparaître du flacon) ne signifie pas forcément contrefaçon mais vente d'un vrai Opi par un vendeur non autorisé.
Enfin, certains affirment que la différence entre les étiquettes, sans ou avec code barre, n'est pas synonyme de contrefaçon mais précise simplement s'il s'agit d'un produit en importation directe ou d'un produit distribué localement.
- En quoi les vernis que j'ai reçus sont-ils bizarres ?
Voici au cas par cas les choses qui me chiffonnent dans chacun des vernis que j'ai reçus.
1 - Le cas du Road House Blues : ce vernis est sorti en 2011 et fait partie de la collection Touring America. Le numéro de série sur le devant du flacon a été effacé et l'étiquette en dessous ne présente ni code barre ni numéro de série.
2 - Le cas du Here Today... Aragon Tomorrow : ce vernis est sorti en 2009 et fait partie de la collection Espagne. Rien à signaler, il a l'air 100% authentique sur tous les critères.
3 - Le cas du You don't know Jacques! : ce vernis est sorti en 2008 et partie de la collection France. Encore une fois, rien à signaler, il a l'air 100% authentique sur tous les critères.
4 - Le cas du Ski teal we drop : ce vernis est sorti en 2010 et fait partie de la Swiss Collection. Le numéro de série le plus invisible a été effacé (on voit encore les 2 derniers caractères) et l'autre a juste été légèrement éraflé. Rien à dire sur le reste.
5 - Le cas du My address is Hollywood : ce vernis est sorti en 2011 et fait partie de la collection Touring America. Je ne trouve qu'un numéro de série et il a été effacé. L'étiquette du dessous ne présente ni code barre ni numéro de série (comme son copain de collection Road House Blues d'ailleurs). Son pinceau est une catastrophe ambulante : proche du chou-fleur ou de la vieille balayette en nylon.
J'avoue que sur le coup, avant d'effectuer toutes ces recherches, j'ai failli péter un boulon. Et puis quand j'ai découvert qu'il y avait à peu près 36 versions officielles d'un authentique vernis Opi je me suis un peu radoucie.
Je reste malgré tout dans le flou le plus total. Quand on achète du Opi à si bas prix (un flacon à 5 euros) y a comme une odeur d'arnaque et on tombe facilement dans la paranoïa. Au niveau des couleurs, malheureusement je n'ai pas de point de comparaison. Elles ont l'air plutôt fidèles à quelques nuances près. Y a plus qu'à tester pour me faire une idée de la qualité du produit.
Celle qui peut me dire si mes Opi sont des vrais ou des faux gagnera toute mon estime mais malheureusement, c'est quasi mission impossible (et ça profite aux contrefacteurs).
Liens (très) utiles : Evolution des packagings Opi, Vidéo comparative entre un vrai et un faux Opi, billet d'Holly Arabella, billet de ChubyGroomy, Opi France.
Celle qui avait passé le casting de Twilight pour jouer le rôle de Bella, mais qui a été supplantée par Kristen Stewart, semble avoir le vent en poupe ces temps-ci. Avec la très proche sortie du 4ème volet de la saga, Ashley Greene - car c'est d'elle dont il s'agit - qui joue le rôle d'Alice Cullen (au cas où tu ne l'aurais pas reconnue) fait la une de plusieurs magazines ce mois-ci.
Les collections maquillage Noël 2011 (#3) : Chanel
28 oct. 2011
Après t'avoir fait rêver avec les collections de Noël de Paul & Joe et de Guerlain, place à la maison Chanel qui, elle aussi, sort l'artillerie lourde pour sa Holiday Collection qui s'intitule... Les Scintillantes (tu sens la féerie de Noël là ? Non, pas encore ? Ben ça va venir...).
Et oui, car pour les fêtes, Chanel sait mettre les petits plats dans les grands et pare son maquillage d'or, de rouges (oui, avec un S, car il y a plusieurs types de rouges dans cette collection) et de rose framboise. Trêve de bavardages et place aux images qui, je trouve, donnent tout de suite le ton (esprit des fêtes, es-tu là ?).
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Collection Noël 2011 Les Scintillantes de Chanel |
Et oui, car pour les fêtes, Chanel sait mettre les petits plats dans les grands et pare son maquillage d'or, de rouges (oui, avec un S, car il y a plusieurs types de rouges dans cette collection) et de rose framboise. Trêve de bavardages et place aux images qui, je trouve, donnent tout de suite le ton (esprit des fêtes, es-tu là ?).
- Lumière sculptée de Chanel
Il s'agit de la nouvelle édition de cette poudre illuminatrice, cette fois-ci déclinée avec un motif sculpté symbolisant une ceinture-bijou de style baroque portée par Mademoiselle Chanel herself. Elle pare le visage d'un voile ivoire, or et nacré.
- Poudre Universelle Libre
Cette poudre dépose un léger voile transparent sur la peau tout en matifiant le teint grâce à sa formule à base de talc et de silice. Les imperfections sont masquées tout en légèreté et le grain de peau est affiné.
- Blush Les Tissages de Chanel
Le tweed, emblème de la marque, est à l'honneur avec ce blush brun-rose constitué de 2 teintes, le tout mêlé à des nacres or ou argent pour un rendu lumineux et satiné.
- Ombre Essentielle
Chanel étoffe sa gamme d'ombres à paupières mono douceur avec 2 nouvelles nuances : Blazing Gold et Beige Lamé, lovées dans un boîtier extra-plat.
- Ombre Contraste Duo
Cette palette est composée de 2 ombres à paupières onctueuses et lumineuses, parfaite pour se créer un smokey en un coup de pinceau. Pour la collection, Chanel a opté pour un duo noir et ivoire.
- Eyeliner Ligne Extrême Or
Rien de tel qu'un peu d'or pour illuminer le regard. Chanel ose donc l'eyeliner liquide en version gold pour un trait net et sans bavure.
- Rouge Allure
La famille des rouges à lèvres Rouge Allure s'agrandit de 2 nouvelles teintes : le rouge Famous et le rose Enivrée. Effet seconde peau garanti pour un résultat satiné et lumineux.
- Rouge Allure Extrait de Gloss
Il s'agit là d'une sorte d'hybride promettant le brillant d'un gloss mais la couleur d'un rouge à lèvres. Pour cette collection, Chanel propose la teinte Triomphal.
- Rouge Allure Laque
Brillance intense et couleur laquée sont la clé de ce gloss à l'applicateur en forme de stylo-plume pour une application ultra-précise. Empire vient compléter la gamme.
- Lèvres Scintillantes
Pour une couleur et un brillant extrêmes, les deux nouvelles nuances Lèvres Scintillantes pareront parfaitement les lèvres. On retrouve un rose beige, Doux Beige, et une nuance délicatement dorée, Étincelle d'Or.
- Vernis à ongles Rouge Carat
Parce-qu'une collection Chanel ne serait pas complète sans son vernis à ongles, la marque parfait Les Scintillantes avec un vernis rouge, à la limite du framboise, qui va en faire tourner des têtes : le Rouge Carat.
Encore une très belle collection de maquillage qui, contrairement aux 2 précédentes que je t'ai présentées, joue la carte des fêtes à fond avec ses teintes or et rouges rappelant inévitablement Noël. Une collection très complète.
La seule chose que je regrette avec Chanel, en général, c'est ce petit manque de folie au niveau des boîtiers par exemple. On est dans le classy mais ça rend le tout un peu froid (contrairement à du Paul & Joe par exemple). Mais c'est tellement beau aussi...
Lien utile : Chanel.
Ma trousse de secours de la tête des mauvais jours
27 oct. 2011
Je ne sais pas si ça te l'a déjà fait à toi, mais moi, souvent, quand il m'arrive de me dire le soir devant ma glace en me brossant les dents : "Tiens, ma peau est pas mal ces temps-ci et ça fait un bail que j'ai pas eu de bouton." et bien - paf ! - le lendemain c'est l'invasion, l’hécatombe, la dégringolade. Comme si quelqu'un - un petit vicieux - m'avait entendu et s'était dit "Et si je lui refilais une poignée de boutons à celle-là ? Niark niark !" . Bref, je me porte toute seule la poisse.
Comme tout le monde, j'ai des bons et des mauvais jours. Les mauvais, ce sont les jours où on ne sait pas pourquoi, mais notre peau se rebelle grave, nous créé des trucs inimaginables (boutons, points noirs, imperfections non identifiées - la nature est pleine de ressources) et brille comme un churros. Dans ces cas-là, je suis bien obligée de sortir l'artillerie lourde pour enrayer le phénomène.
Changement de rituel oblige, voici donc les produits qui constituent ma trousse de secours des mauvais jours. Je les utilise surtout dans les cas de force majeure et plutôt sur une courte période (le temps que ma peau redevienne à peu près potable).
J'avoue que je ne fais des masques que très rarement (2 à 3 par mois) car ils ont tendance à exciter les glandes sébacées plus qu'autre chose et à irriter ma peau mixte. Malgré tout, quand c'est l'anarchie, je commence par me faire ce petit masque de chez Cosmence qui a l'avantage de bien purifier la peau, le kaolin absorbant impuretés et sébum.
C'est un indispensable pour moi. Je n'utilise pas ce nettoyant visage au quotidien car à long terme il assèche quand-même pas mal l'épiderme. Il n'en reste pas moins une valeur sûre que je dégaine dès que ma peau se rebelle. Formulé à base d'arbre à thé, de camomille et de calamine, ce savon me donne l'impression d'agir rapidement et efficacement et m'aide à éliminer tout ce sébum qui obstrue mes pores.
Je n'ai pas pour habitude d'appliquer une crème hydratante pour la nuit car je préfère laisser respirer ma peau un maximum. En général je préfère donc l'application d'un sérum, plus léger. Néanmoins, les mauvais jours, je sors ma Normaderm Nuit de Vichy pour son côté hydratant et apaisant, allié à son côté traitant (désengorgement et réduction des pores déformés). J'y suis accro depuis des années maintenant.
Il s'agit là d'un médicament qui est désormais en accès libre sans ordonnance en pharmacie. Son but est de traiter l'acné de sévérité moyenne grâce à une formule à base de peroxyde de benzoyle 4%. A manier avec pas mal de précautions (ne pas trop en mettre, éviter le contour des yeux et attention à la décoloration du linge). Je l'utilise une seule fois par jour (pas plus) et sur une courte période (puisque je n'ai pas d'acné à proprement parler).
C'est un classique et j'y suis accro depuis quelques années maintenant. Cette pâte composée d'extraits de schiste est parfaite pour accélérer la maturation d'un bouton et sa cicatrisation. Je l'applique en grosse quantité à l'aide d'un coton-tige sur l'indésirable avant de me coucher (en espérant ne pas en étaler partout sur l'oreiller).
Voilà, tu sais tout de mes 5 super héros censés m'aider à vaincre les imperfections (les grosses, les laides, les vilaines). Concernant leur efficacité, je ne dis pas que ce sont les produits parfaits ou des solutions miraculeuses. Ce sont en tout cas les produits sur lesquels je m'appuie en cas de détresse dermatologique intense. Je me demande quand-même s'il n'y a pas un petit effet placebo là-dedans...
Liens utiles : Cosmence au Club des Créateurs de Beauté, Lush France, Vichy, Brevoxyl et Payot.
Changement de rituel oblige, voici donc les produits qui constituent ma trousse de secours des mauvais jours. Je les utilise surtout dans les cas de force majeure et plutôt sur une courte période (le temps que ma peau redevienne à peu près potable).
- Pour repartir sur de bonnes bases : le masque Kaolin Puissance 3 de Cosmence
J'avoue que je ne fais des masques que très rarement (2 à 3 par mois) car ils ont tendance à exciter les glandes sébacées plus qu'autre chose et à irriter ma peau mixte. Malgré tout, quand c'est l'anarchie, je commence par me faire ce petit masque de chez Cosmence qui a l'avantage de bien purifier la peau, le kaolin absorbant impuretés et sébum.
- Pour déglinguer le sébum : le nettoyant Fraîche Farmacy de Lush
C'est un indispensable pour moi. Je n'utilise pas ce nettoyant visage au quotidien car à long terme il assèche quand-même pas mal l'épiderme. Il n'en reste pas moins une valeur sûre que je dégaine dès que ma peau se rebelle. Formulé à base d'arbre à thé, de camomille et de calamine, ce savon me donne l'impression d'agir rapidement et efficacement et m'aide à éliminer tout ce sébum qui obstrue mes pores.
- Pour hydrater ma peau meurtrie : le soin chrono-action anti imperfections Normaderm Nuit de Vichy
Je n'ai pas pour habitude d'appliquer une crème hydratante pour la nuit car je préfère laisser respirer ma peau un maximum. En général je préfère donc l'application d'un sérum, plus léger. Néanmoins, les mauvais jours, je sors ma Normaderm Nuit de Vichy pour son côté hydratant et apaisant, allié à son côté traitant (désengorgement et réduction des pores déformés). J'y suis accro depuis des années maintenant.
- Pour traiter en profondeur : le soin spécifique Brevoxyl 4% Crème de Stiefel
Il s'agit là d'un médicament qui est désormais en accès libre sans ordonnance en pharmacie. Son but est de traiter l'acné de sévérité moyenne grâce à une formule à base de peroxyde de benzoyle 4%. A manier avec pas mal de précautions (ne pas trop en mettre, éviter le contour des yeux et attention à la décoloration du linge). Je l'utilise une seule fois par jour (pas plus) et sur une courte période (puisque je n'ai pas d'acné à proprement parler).
- Pour mâter les boutons : la Pâte Grise de Payot
C'est un classique et j'y suis accro depuis quelques années maintenant. Cette pâte composée d'extraits de schiste est parfaite pour accélérer la maturation d'un bouton et sa cicatrisation. Je l'applique en grosse quantité à l'aide d'un coton-tige sur l'indésirable avant de me coucher (en espérant ne pas en étaler partout sur l'oreiller).
Voilà, tu sais tout de mes 5 super héros censés m'aider à vaincre les imperfections (les grosses, les laides, les vilaines). Concernant leur efficacité, je ne dis pas que ce sont les produits parfaits ou des solutions miraculeuses. Ce sont en tout cas les produits sur lesquels je m'appuie en cas de détresse dermatologique intense. Je me demande quand-même s'il n'y a pas un petit effet placebo là-dedans...
Liens utiles : Cosmence au Club des Créateurs de Beauté, Lush France, Vichy, Brevoxyl et Payot.
Quand la folie Sampar s'empare de moi...
26 oct. 2011
Oui, j'avoue, j'ai pêché. Alors que je m'étais promis que non, je ne craquerais pas sur tout et n'importe-quoi en allant faire mon shopping express (le genre de shopping où on n'a pas spécialement d'argent à dépenser mais où s'en met plein la vue), je suis repartie avec un petit achat non prémédité. Je suis faible, je sais.
Je t'explique le topo. Après avoir enchaîné quelques boutiques, les 19 heures approchant, je passe devant Sephora. Grosse erreur. L’hémisphère droit de mon cerveau (le non-dominant) me crie : "Non, c'est un piège, n'entre pas !". L'hémisphère gauche quant à lui, le dominant, force mes jambes à marcher vers le magasin. Je cède et j'entre (et oui, je n'ai pas le choix, c'est plus fort que moi).
Je traînasse devant le maquillage. Pas de grandes envies en particulier, mouais... Les parfums, n'en parlons même pas. J'en ai quelques-uns auxquels je suis fidèle, bof... Je louche quand-même sévèrement sur le présentoir Opi ("Tiens, ils ont eu un nouvel arrivage ! Tiens, cette couleur est top ! Oh, c'est toujours aussi cher..."). Et là, je fais un demi-tour sur moi-même et tombe nez à nez avec Robert Pattinson. Non je plaisante (c'était pour voir si tu suivais). Je reprends...
Et là, je fais un demi-tour sur moi-même et tombe nez à nez avec les produits Sampar. Ah... Sampar... Cette marque m'a toujours fait rêver. Ses jolis flacons roses. Ses belles promesses. Ses ravissants prix... élevés. J'avais eu l'occasion de tester le Glamour Shot sur ma main une fois, j'avais craqué puis oublié en voyant les 39 euros affichés.
Sauf que là, y a un truc bizarre qui m'a sauté à la figure. Un coffret à 39 euros, le prix du Glamour Shot tout seul, contenant non seulement le Glamour Shot mais aussi le Fluide Ultra Hydratant (qui, tout seul, vaut la modique somme de 64 euros). Le Coffret Urban Glamour qu'il s'appelle. Un truc de dingue (qui doit exister depuis belle lurette, mais un truc de dingue quand-même).
C'est donc toute contente que je suis rentrée à la maison avec mon coffret Sampar. Un petit tour sur le site internet de la marque et je découvre que ce coffret est une édition limitée. Et d'ailleurs, il en existe plein d'autres des coffrets dans le même genre, super avantageux (je découvre la vie).
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